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30 décembre 2009

Mieux vaut ne pas tomber malade en 2010

Plus que quelques heures avant de se souhaiter des voeux de bonheur, de joie et de santé...
Sur ce dernier point, l'année 2010 va encore nous réserver son lot de mauvaises surprises, toujours plus difficile pour les français les plus fragiles.
Voici un inventaire des mauvaises nouvelles :

- Augmentation du forfait hospitalier qui passera de 16 euros à 18 euros à partir du 1 er janvier - nouvelle série de déremboursement de médicaments leur taux passant de 35 % à 15 % - Exonération fiscale des indemnités versées aux accidentés du travail plafonnée à 50 % - Augmentation du prix des mutuelles de santé de 5 % en moyenne.

En France, sous Sarkozy, mieux vaut ne pas tomber malade...

27 décembre 2009

Le cadeau de Noêl de la section à lire

Ce clip de l'UMP où l'on voit des ministres faire du play back sur une bande son dont les jeunes de l'UMP ne possédaient même pas les droits est le prototype même d'une com' ratée, ridicule.
Les ministres n'ont pas fini d'en parler, les socialistes ayant par exemple imité Darcos pendant une séance à l'Assemblée Nationale.
Il ne manquait plus la réaction de Nicolas Sarkozy pour savoir ce qu'il pensait de ce clip.
Dans ce cas de figure, il faut se tourner vers la page 2 du Canard Enchainé, où l'on trouve les propos rapportés par des sources toujours bien renseignées.
" Ce n'est pas drôle, c'est risible" a commenté Sarko. Xavier Bertrand n'aurait jamais dû passer ça. Son rôle c'est aussi de contrôler les jeunes. Je passe mon temps à dire que les ministres doivent etre sérieux. J'ai engeulé Hortefeux pour ses propos à Seignosse et ils me font cette merde. Ils sont dingos".
Même son de cloche pour une fois, à Matignon." C'est ni fait, ni à faire" a dit Fillon. C'est ridicule. Ces ministres qui veulent exister à tout prix comme ça, c'est vraiment triste".

Source : Le Canard Enchainé n°4651, 16 12 2009, page 2

Trouvé sur le site Politique.net

22 décembre 2009

Inscrivez vous sur les listes électorales

En mars 2010 auront lieu les élections régionales.
Pour y participer, pensez à vous inscrire sur les listes électorales.

Les eléctionsrégionaes ont pour objet d'élire les conseillers régionaux qui siégent à l'assemblée délibérante de la Région, le Conseil Régional.
Celui ci, est notamment compétent pour promouvoir le développement économique, social, sanitaire, culturel et scientifique de la Région et l'aménagement du territoire.
Les conseillers régionaux sont élus au suffrage universel direct.



Vous avez jusqu'au 31 décembre pour vous inscrire.
Contactez votre mairie.

21 décembre 2009

Budget 2010 de la ville d'Elbeuf


Depuis le début du mandat municipal, la feuille de route de l'équipe socialiste reposait sur les principes suivants: -le maintien de l'offre de service public aux usagers- la maitrise des dépenses de fonctionnement-le maintien des taux de fiscalité locale- le recours modéré à l'emprunt.

En appliquant cette méthode, la ville a pu mettre en place son projet municipal en poursuivant le renouvellement de la ville tant sur le plan du cadre de vie que de l'offre de services de proximité de qualité, au travers d'une politique visant à renforcer la citoyenneté.

Pour 2010, le budget de la ville s'éléve à 23 810 000 euros.

Sur le plan des recettes, les seules qui restent dynamiques proviennent des bases fiscales, grâce aux efforts déployés depuis de nombreuses années pour favoriser la construction de nouveaux logements sur la ville.
Cependant pour la première fois, l'évolution des dotations de l'Etat sera négative en 2010 et confirme le désengagement progressif de celui ci.

Sur le plan des dépenses, ce budget permettra de continuer le travail entrepris sur la politique éducative en consolidant les moyens qui y sont consacrés.
Sur le logement, 700 000 euros seront consacrés à soutenir les campagnes de ravalement de façades ou les propriétaires effectuant des travaux dans le cadre du Programme d'Intêret Général ( PIG ) de l'agglomération ou dans le cadre du périmètre de restauration immobilière.
De plus, un effort important sera fait en 2010 sur la culture avec le projet de redynamisation du Theâtre des Bains Douches avec 650 000 euros consacrés à moderniser ce lieu.
La médiathéque fera l'objet d'une réflexion pour fédérer autour d'un projet global l'ensemble des initiatives destinées à renforcer l'attractivité du lieu.
Une nouvelle fête de la ville associant davantage de partenaires sur l'ensemble de la journée permettra de dynamiser cet évenement et s'inscrira cette année sur le thème de l'impressionnisme.

Ce budget permet de préserver les acquis construits les années précédentes, en maintenant un niveau élevé de qualité des services, en poursuivant l'embellissement de la ville et en lui donnant un rayonnement culturel ambitieux.


19 décembre 2009

Copenhague...un sommet pour presque rien

Finalement, la montagne Copenhague aura accouché d'une petite souris...
Alors que l'on nous annonçait une véritable révolution écologique de la bouche de Borloo, parti à l'assaut des pays du monde, alors que le président Sarkozy s'était personnellement impliqué dans ce dossier en se donnant l'image d'un VRP de l'écologie, voilà que l'accord des pays engagé dans ce processus est un accord à minima.
On repousse à plus tard des décisions qu'il aurait fallu prendre maintenant.
S'il affirme la nécessité de limiter le réchauffement planétaire à 2 degrés par rapport à l'ére préindustrielle, le texte ne comporte aucun engagement chiffré de réductions de gaz à effet de serre.
Par ailleurs, l'engagement de mobiliser 100 milliards n'aura lieu qu'en 2020 et ne sera pas une obligation.

17 décembre 2009

Quand la droite dérape....

Le parti socialiste condamne fermement les propos de M. Thierry Mariani, député UMP, justifiant l'expulsion des ressortissants afghans au nom de la lutte contre les talibans.
Un élu de la République ne peut jouer avec les malheurs de tout un peuple pour justifier les misérables actions de son gouvernement.
Les expulsions d’Afghans sont pour les socialistes, et pour beaucoup de Français, une honte.
La fuite des Afghans de leur pays est le résultat direct de la guerre en Afghanistan.
Pour certains, il s'agit de préserver ce qu'il leur reste, à savoir leur intégrité physique, puisqu'ils n'ont plus rien là-bas.
Pour ceux-là, qui ont choisi la France, M. Mariani devrait aussi avoir de l'estime.
Il en va de l'honneur d'une démocratie, et de la République française plus que toute autre, de protéger les citoyens de pays en guerre, conformément au droit international et en cohérence avec ce qui fonde l'identité de la France.
La lâcheté et le cynisme sont désormais la marque de fabrique d'un pouvoir qui n'hésite plus à faire des thèses les plus dures d'une partie de l'extrême droite son bréviaire gouvernemental. Expulsions des Afghans, clichés sur les jeunes musulmans, débat sur la burqa, confusion volontaire entre identité nationale et questions d'immigration sont autant de signes d'une inquiétante dérive.
Les Français ne tomberont pas dans le piège qui leur est tendu : pour éviter d'avoir à répondre de son bilan catastrophique, le gouvernement est prêt à tourner le dos aux valeurs qui fondent notre pacte républicain : la défense intransigeante des droits de l'homme.

15 décembre 2009

Discours de Didier Marie à l'Assemblée Départementale des Maires


Monsieur le Préfet,
Mesdames, Messieurs, les parlementaires,
Monsieur le Président du Conseil Régional,
Monsieur le Procureur Général,
Monsieur le Président de la Chambre régionale des Comptes,
Mesdames, Messieurs les Conseillers généraux,
Mesdames, Messieurs les Conseillers régionaux,
Mesdames, Messieurs les Maires,
Monsieur le Président du Sénat,

J’ai une nouvelle fois, beaucoup de plaisir à vous accueillir à l’Hôtel du Département, salle Pierre Bérégovoy, pour l’assemblée générale annuelle de l’Association des maires de Seine-Maritime. Un plaisir et un symbole du lien fort qui existe entre nos deux niveaux de collectivité, communes et département, garantes de l’action publique de proximité.

Nous arrivons au terme d’une année bien difficile marquée par une crise financière, économique, et sociale comme on n’en avait plus connue depuis très longtemps.

Notre département et nos communes sont particulièrement concernés.

De nombreuses entreprises ont été touchées, notamment dans les filières de l’automobile, du verre, de la chimie, ainsi que dans l’agriculture.

Les conséquences sociales sont rudes.

Le taux de chômage a sensiblement augmenté et le nombre d’allocataires du RSA est passé en 3 mois, de juin à septembre, de 35.315 à 38.574 soit plus de 1.000 personnes supplémentaires par mois (en dehors des allocataires salariés modestes), rythme qui ne faiblit malheureusement pas.

Nos permanences, celles de nos CCAS ou CMS, débordent de personnes, surendettement, loyer, cantines, santé, pour lesquelles nous sommes les premiers recours et souvent le dernier espoir, gonflant fortement nos dépenses d’aides d’urgence et d’accompagnement social.
La crise a aussi fortement impacté nos ressources avec l’effondrement des droits de mutation (- 37 Millions d’Euros pour le département).

Nous avons hâte que cela se termine mais soyons réalistes, nous en avons pour de nombreux mois.
Mais au-delà de la crise, qui n’est pas terminée, loin de là, cette année aura été marquée par le lancement de deux réformes qui nous inquiètent parce qu’elles vont profondément modifier nos capacités d’action.

Elles font l’objet de beaucoup de discussion tant dans les associations d’élus comme ce fut le cas lors du congrès de l’AMF, qu’au Parlement ou dans la presse, habituellement peu sensibilisés même si au final concernés, et vous comprendrez que je les aborde, ici, comme je suis convaincu que le Président du Sénat le fera.

Quelques remarques d’abord sur la forme et la façon dont ces débats ont été lancés.
Que nous-a-t-on expliqué, du moins à nos concitoyens :
Qu’il y avait trop de collectivités, qu’elles étaient trop couteuses et qu’il y avait trop d’élus, bref qu’elles étaient responsables de la mauvaise santé des comptes publics.

A chacune de ces assertions, permettez-moi un commentaire.

On nous dit, trop de collectivités : mais faut-il rappeler que notre constitution en reconnaît 3 et pas plus : les communes, les départements et les régions.

En avons-nous plus que d’autres ? Ca dépend à qui l’on se compare, nous en avons plus que 3 pays européens majeurs : Malte-Luxembourg-Lituanie.
23 autres en ont autant que nous au sein de la communauté européenne.
Tout le reste, syndicats, communautés de communes, pays, agglo, communautés urbaines ne sont que des outils que tout le monde est d’accord pour simplifier.
La seule différence notable avec le reste de l’Europe, c’est notre nombre de communes : 36.700 et 745 en Seine-Maritime.

Faut-il en supprimer ? J’y suis pour ma part fermement opposé, car la commune reste le berceau de la démocratie, le lieu de la rencontre et de l’élaboration collective le plus proche de nos concitoyens, la structure qui permet de freiner le galop de l’individualisme.

Ces 36 700 communes sont une richesse extraordinaire pour la France, ne l’oublions pas.

2ème assertion : nos collectivités seraient trop couteuses.
Faux : toutes collectivités et regroupements confondus, leurs dépenses représentent 11,3% du PIB quand la moyenne de leurs homologues en Europe se situe à 12,7%.

Mieux la dette a baissé, elle représentait 9% du PIB en 1995, 7,1% en 2008.
Faut-il rappeler par ailleurs, que les déficits nous sont interdits et que les collectivités ont dégagé en 2008 27,2 millions d’euros d’épargne (autofinancement) qui représentent 73% de la commande publique.

3ème assertion : trop d’élus, trop chers
Mais c’est le contraire, que ferions-nous sans nos 500 000 élus dont 90% ne sont pas indemnisés ?

Qui les remplacerait pour animer les villages, accompagner les plus démunis, s’occuper des plus âgés ?

Que serait notre pays sans ses femmes et ses hommes au dévouement admirable qui ne courent ni après les honneurs, ni après l’argent et sont au service de la collectivité, au détriment souvent de leur vie de famille, qui servent l’intérêt des autres plutôt que le leur ?

Cette richesse là, elle coûte mille fois moins qu’elle ne rapporte, c’est l’identité de la France et il faut la préserver.

Bien sûr, certains me diront la main sur le cœur, qu’il n’est pas question de toucher aux communes, ni aux élus.

Mais si tel est le cas aujourd’hui, après les avoir pointé du doigt, c’est parce qu’ils ont réagi et, qu’études d’opinion à l’appui, d’aucun s’est rendu compte que les Français étaient bien plus attachés que l’on ne le croyait à la démocratie locale.
Ne soyons pas pour autant naïfs et rappelons nous les propos de Messieurs ATTALI et BALLADUR lors de la présentation de leur rapport respectif, il faut d’ailleurs leur rendre hommage pour leur franchise, ils préconisent l’un et l’autre, non pas la suppression mais l’évaporation progressive des communes et des départements, et pour le dernier la diminution d’un tiers des élus, et je n’ai pas à ce jour entendu nos plus hauts responsables les démentir.

Venons en donc au fonds de ces réformes. D’abord pourquoi régler le problème du financement des collectivités avant de s’intéresser à ce qu’elles doivent faire. Je rejoins sur ce point bon nombre de responsables de la majorité présidentielle qui s’en sont émus. Car si le postulat, c’est la réduction des capacités financières, ça se traduira nécessairement par la réduction des services à la population.
Or, je suis de ceux qui pensent que dans notre pays, même s’il bénéficie d’un haut niveau d’équipement, nous n’avons pas trop de crèches, d’écoles, de logements, d’équipements sportifs et culturels, de salles polyvalentes, d’EHPAD, de structures pour handicapés, de services publics, etc. et que nous devons continuer d’aménager notre territoire, ce qui nécessite d’en avoir les moyens !

Mesurons d’abord les besoins, mettons nous d’accord sur quelle collectivité doit les satisfaire et ensuite affectons les moyens correspondants.
En l’état le problème a été pris volontairement à l’envers et la suppression de la TP est source d’une grande inquiétude, même si c’est moins pire.
Je ne rentrerai pas dans le détail mais je vais vous illustrer mon propos en prenant l’exemple du département.
En 2009, nous avons perçu 282 Millions d’Euros de la TP, déjà plafonnée de 36 millions d’euros.
En 2010, nous percevrons le même montant alors que nous aurions dû recevoir 15 Millions d’euros de plus avec l’actualisation des bases (6,9 % sur 80%). Résultat, nos recettes n’augmentent que de 0,45%.
En 2011, la nouvelle CET rapportera au département environ 130 Millions d’euros, soit 150 de moins. Ils seront après transfert du FB de la région, qui perd toute autonomie fiscale, l’augmentation de la part de TSCA et l’impôt forfaitaire des entreprises de réseaux (IFER) et la perte de la TH, compensée à hauteur d’environ 50 millions d’euros soit un manque de recettes fiscales de plus de 100 Millions d’euros.
Résultat : perte de l’autonomie fiscale (environ 20%), dépendance d’une dotation, risque de voir celle-ci s’effilocher au gré du temps qui passe.

Si les communes et leurs groupements dans le débat sénatorial ont récupéré la totalité de la cotisation foncière et 26,5% de la valeur ajoutée, mieux que ce qui leur était destiné, il n’en reste pas moins :
- qu’il manque 7 Milliards d’euros (compensation par transfert sur les ménages), que le gouvernement s’engage à compenser mais où les trouvera-t-il ? Créera-t-il un nouvel impôt ou une taxe au niveau national ? Aggravera-t-il le déficit ? Ou fera-t-il un renvoi sur les impôts locaux sachant que seules les communes et les intercommunalités conserveront une réelle liberté ?
- qu’il fonde un nouveau lien rigide impôt ménage/impôt éco puisque les communes et les EPCI les prélèveront
- que nous enregistrons une perte globale d’autonomie
- qu’il reste un sujet de préoccupation, celui du devenir du FDPTP (Fonds Départemental de Péréquation de Taxe Professionnelle)
- que l’on assiste à un enrichissement des plus riches via la valeur ajoutée.

Et puis, permettez-moi d’exprimer au moins un regret : si la taxe professionnelle est un impôt imbécile – d’ailleurs, faut-il remplacer un impôt imbécile par un impôt idiot ? – la taxe d’habitation et la taxe sur le foncier bâti ne sont pas mieux. Les associations d’élus avaient fait des propositions pour les rendre moins injustes mais leurs suggestions n’ont pas été retenues.

Va venir d’ici quelques jours, le débat sur la réforme territoriale en tant que telle. Je crains que ce deuxième étage de la fusée n’accentue nos difficultés, en tout cas je le perçois comme tel à la lecture des propositions du gouvernement.

On nous dit simplification, clarification mais on maintient communes, syndicats, communautés de communes, agglo, communautés urbaines et on y ajoute trois nouvelles formes d’organisation : communes nouvelles, métropoles, pôle métropolitain.
Certes les Préfets seront chargés de simplifier la carte de l’intercommunalité. Espérons que cela se fera dans un esprit de consensus.

Un mot sur les communes nouvelles : de quoi s’agit il sinon de regroupement et donc de la disparition des communes. Pas par arbitraire mais par obligation, via l’incitation financière.
Quant aux pôles métropolitains et aux métropoles, ils devraient avoir des compétences moindres mais il s’agit d’être méfiant car ils vont se faire au détriment des départements.

On nous dit proximité, mais on instaure le scrutin de liste proportionnelle dans les communes de 500 à 3500 habitants et on crée un conseiller territorial, super élu, cumulard qui siègera à la fois au Conseil général et au Conseil régional, dans des cantons plus grands, sans parler du mode de scrutin uninominal à un tour qui à mes yeux, mais aussi à bon nombre d’élus de la majorité présidentielle, n’est pas conforme à notre tradition républicaine.

On nous dit efficacité, mais on supprime la clause de compétence générale aux régions et aux départements, leur interdisant à l’avenir, et c’est le plus grave, l’innovation, l’adaptation aux réalités de chaque territoire et surtout l’accompagnement de la vie associative, laissant seules les communes.

Je crains, mes Chers collègues, que si les projets restent en l’état, tout cela se traduise par un affaiblissement des services locaux, une dépendance accrue aux dotations et donc au bon vouloir de l’Etat, bref à une remise en cause des 27 années de décentralisation qui pour certains ne doivent être qu’une parenthèse dans l’histoire de nos institutions. La question est transpartisane, de gauche ou de droite, elle nous interpelle et pose celle de l’organisation de notre République, qui dans la constitution est maintenant décentralisée.

Aussi, mes Chers collègues, puisqu’approche la période des vœux, j’en formulerai un :
Que l’on prenne le temps, ça nous changera, et que l’on écoute les élus de terrain que nous sommes pour aboutir à une réforme juste et équilibrée.

Cela est possible et c’est souhaitable, car il y a besoin d’approfondir la décentralisation mais je veux rappeler qu’aucune réforme de ce type ne peut se faire contre les élus.

C’est avec eux et grâce à eux que l’on pourra donner un avenir à nos territoires et des réponses à nos concitoyens.

13 décembre 2009

Cadeaux de Sarkozy aux médias...


Un amendement UMP réduisant le taux de la taxation des recettes publicitaires pour les chaînes de télévision privées en 2009 a été adopté vendredi par les députés.

Dénoncé par la gauche comme un "cadeau de Noël" du pouvoir aux chaînes privées comme TF1, le texte a été adopté dans le cadre du projet de loi de finances rectificative pour 2009 que le Sénat examinera à son tour les 17 et 18 décembre.

Le taux sera de 0,5% pour les chaînes dont le chiffre d'affaires baisse de plus de 5% et de 1% pour celles dont le chiffre d'affaires baisse de moins de 5%. En 2010, il s'établira entre 1,5 et 3%.


Encore une fois, "le Pere Noël Sarkozy "vient de découvrir la liste des cadeaux que les patrons des grands groupes viennent de lui adresser...


11 décembre 2009

Une manifestation réussie à Elbeuf

La manifestation pour la sauvegarde de l'emploi sur l'agglomération a permis de montrer l'unité des organisations syndicales, politiques et associatives sur le territoire.
En présence de nombreux élus socialistes de l'agglo d'Elbeuf, de secrétaires des sections socialistes et de militants venus en nombre, les rues d'Elbeuf se sont "colorées" des drapeaux des syndicats et ont résonné des slogans appelant à la mobilisation de tous.
Les salariés de NPC, Autoliv, Renault et d'autres entreprises étaient déterminés pour sauver l'emploi industriel sur l'agglomération à un moment où l'inaction voire l'inefficacité du gouvernement est criante.

08 décembre 2009

Téléthon 2009 à Elbeuf

De nombreuses associations elbeuviennes ont participé à cette édition du Téléthon 2009 et ont largement contribué à collecter la somme de 50.000 euros sur l’ensemble du territoire de l’agglomération.
Toutes ces associations elbeuviennes ont uni leur force dans un même combat.
Des manifestations en tout genre ont témoigné d’une mobilisation encore très forte cette année. Des bénévoles, parfois les mêmes qu’on retrouve lors des rendez-vous conviviaux de la section, ont travaillé d’arrache-pied pendant 2 jours avec beaucoup d’enthousiasme pour faire de ce téléthon une grande fête de la solidarité loin de toute polémique.
Dans une situation économique et sociale rendue difficile à cause des décisions gouvernementales, les elbeuviens ont répondu présents et se sont montrés généreux.
Rendons leur hommage.
La solidarité, la générosité et le bénévolat ont compensé une nouvelle fois le désengagement de l’Etat dans la recherche.

Tous à la manifestation du 10 décembre à Elbeuf

La situation de l'emploi sur notre agglomération est inquiétante, chaque semaine apportant son lot de mauvaises nouvelles...
Dernier épisode en date, la situation de l'entreprise NPC à Caudebec Les Elbeuf où les 141 emplois restant sont menacés.
Pour défendre l'emploi sur notre commune et notre agglomération, la section d'Elbeuf appelle tous ses militants et sympathisants à participer nombreux à la manifestation
jeudi 10 décembre
à 16h30
place du Champ de Foire.

06 décembre 2009

Désignation de la liste des socialistes pour les élections régionales de 2010

Les militants de la section d'Elbeuf se sont prononcés jeudi pour désigner la liste des socialistes que conduira Alain Le Vern à l'occasion des élections régionales de 2010.
A une trés large majorité, plus de 90%, ils ont montré leur confiance à une liste renouvelée, compétente, diverse et rajeunie...

A l'issue de ce vote, la présentation de la liste à la presse a été faite ce samedi à Evreux.

Pour consultez, l'article du Paris Normandie

http://www.paris-normandie.fr/index.php/cms/13/article/269424/Elections_regionales___Le_Vern_devoile_sa_liste_a_Evreux