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30 novembre 2010

Convention Egalité Réelle à Elbeuf

Dans le cadre de la convention fédérale sur l'Egalité réelle, la section d'Elbeuf a eu le plaisir d'accueillir une réunion sur l'égalité Hommes-femmes.
Aprés une premiére réunion sur l'égalité des savoirs puis l'égalité des territoires, cette réunion animée par Najwa El Haité Déléguée fédérale chargée de la lutte contre les discriminations et les questions de société, Dominique Sopo Président de Sos Racisme et Réjane Sénac-Slawinski Enseignant-chercheur au CNRS spécialiste des questions d'inégalités sociales et de la parité nous a permis de débattre sur le texte proposé aux militants, de confronter nos idées et d'échanger plus largement.


Merci aux nombreux militants et sympathisants présents.

28 novembre 2010

Campagne d'inscription sur les listes électorales


Inscrivez vous sur les listes électorales!
envoyé par PartiSocialiste. - L'actualité du moment en vidéo.

La section du Parti Socialiste d''Elbeuf va lancer sur Elbeuf une campagne d'inscription sur les listes électorales dans les prochains jours.
Distributions, débats et porte à porte seront au rendez vous.

20 novembre 2010

Débat d'orientations budgétaires au Département

En conclusion du débat d’orientations budgétaires de ce jour, Didier Marie, Président du Département de Seine-Maritime, a donné les grandes lignes du budget 2011.

« Le Département de Seine-Maritime, comme les 102 Départements français, est confronté à une dégradation de la situation et sociale.
En Seine-Maritime, comme en attestent encore les mauvaises nouvelles pour Renault Sandouville, la situation des entreprises et de l’emploi reste difficile.
Une situation économique et sociale de plus en plus dégradée en Seine-Maritime. En 2011, comme en 2010 et les années précédentes, les éléments de contexte que la majorité départementale devra prendre en compte sont des éléments de contraintes imposés par le gouvernement à sur l’ensemble des Départements.

Le nombre de demandeurs d’emplois n’a quasiment pas cessé d’augmenter depuis juin 2008. On dénombrait 66 400 demandeurs d’emplois en mai 2008 dans notre département. Leur nombre est passé 91 800 fin septembre 2010.
Plus de 25 000 demandeurs d’emplois recensés en moins de deux ans et demi, une augmentation de près de 40 %. Il nous faut donc prévoir que la courbe des dépenses engagées au titre du RSA poursuivra sa croissance.
Les effets de ces difficultés font que des familles, de plus en plus nombreuses, vont devoir faire face à des fins de mois plus que difficile pour face à leur charges.
Au total, un demi-milliard d'euros manque aux Seinomarins, soit 400€ par habitant.
C’est le moment qu’a choisi le gouvernement pour réduire ses interventions et malmener les collectivités. Depuis 2002, l’Etat cumule une dette de 400 M€ sur les seuls transferts de charge.
A cela s'ajoute la perte de ressources avec les réformes successives de la taxe professionnelle et la perte de l’évolution des bases, soit un coût global de près de 87 M€.
Un demi-milliard d’euros, c’est donc le coût cumulé des transferts de charges et des réformes de la fiscalité locale à ce jour.
Et d'autres décisions gouvernementales viendront encore pénaliser les Départements : le gel des dotations et la réforme des collectivités locales.
Notre réponse : Un budget utile et responsable sans augmentation d'impôt pour les ménages.
Dans ce contexte, nous proposerons un budget utile et responsable.
Nous assumerons à la place du gouvernement la solidarité due aux personnes âgées, aux personnes
handicapées et aux bénéficiaires du RSA.
Nous poursuivons un programme utile à la vie quotidienne des Seinomarins sans augmenter les impôts, avec plus d’aides pour l’emploi, plus de places de crèche ouvertes ; plus de réponses aux attentes de nos aînés ; plus de considération pour les initiatives associatives dans les domaines culturels, sportifs, citoyens ; plus de qualité et plus de chances offertes aux collégiens ; plus d’équipements soutenus dans les territoires et plus de partenariats pour ces équipements.
Par contre, le gouvernement ne peut pas à la fois nous priver de ressources, nous imposer de payer la Solidarité Nationale à sa place et nous demander de financer les investissements dont il a la
 responsabilité.
Nous gèlerons donc toute participation du Département à des opérations relevant de la responsabilité de l’Etat et des grands établissements publics dont l’Etat est le seul actionnaire, comme les Grands Ports Maritimes.
Nous engagerons une nouvelle négociation avec les territoires en fonction de nos priorités mais surtout au regard de l’engagement de l’Etat.
Face à la situation contrainte que nous connaissons, le Département de Seine-Maritime mettra en oeuvre tout ce qui est possible et utile pour construire une Seine-Maritime plus solide. Ce volontarisme continuera de marquer le budget utile et responsable pour l’année 2011. »

18 novembre 2010

Actualité politique avec Christophe Bouillon

Christophe Bouillon revient, en vidéo, sur l'actualité du mois de Novembre, riche en action pour les socialistes.



Web TV : Edito Novembre 2010
envoyé par federationps76. - L'info internationale vidéo.

17 novembre 2010

Conseil Municipal du mois de novembre

Les élus du conseil municipal d'Elbeuf ont débattu des orientations budgétaires du Budget Primitif 2011 avant son adoption en décembre.
Sur le plan national, la situation économique reste très dégradé.
Après une stagnation en 2009 et en 2010, l’inflation devrait atteindre + 1,6% alors que le projet de loi de finances prévoit + 1,5% pour 2011.
Les perspectives pour les finances publiques se sont encore assombries avec un déficit public et une dette en constante augmentation.
Sur ce point, Didier Marie a rappelé que ce déficit, même s’il était aggravé par la crise économique, ne pouvait s’exonérer des mauvais choix de gestion budgétaires et des choix politiques du gouvernement.
Sur le plan des finances local, les recettes de l’Etat baissent : Gel des dotations, baisses de 11% des allocations compensatrices, baisse des reversements à la commune des recettes des amendes de police. Seule embellie, la légère augmentation de la Dotation de Solidarité Urbaine en raison de la faiblesse du potentiel fiscal.
Les recettes n’augmenteront que de 0,2 % pour 2011.
Néanmoins, afin de préserver les habitants eu égard au contexte national et économique difficile, malgré les contraintes financières, il n’y aura pas d’augmentation d’impôts cette année.
Par ailleurs, l’effort constant des services pour maitriser leurs dépenses par la recherche systématique d’économies et la vigilance permanente sur la masse salariale permettront de limiter l’évolution des dépenses de fonctionnement.
Cette gestion rigoureuse permettra de dégager des marges de manœuvre nous permettant de délivrer n service de qualité et de poursuivre les projets de transformation de la ville.

16 novembre 2010

Deux millions d'enfant dans la précarité

Près de deux millions d'enfants vivent dans une famille en situation de précarité, très souvent de grande précarité pour des familles monoparentales ou des familles nombreuses qui vivent très en dessous du seuil de pauvreté de 950 euros.
C'est le terrifiant constat que nous livre Dominique VERSINI dans son dernier rapport rendu public ces jours-ci.
La Défenseure des Enfants ne limite la précarité pas à une seule approche financière, elle dresse la liste des conséquences de la précarité sur les plus jeunes, conséquences insupportables à notre époque.
D'un point de vue sanitaire d'abord les problèmes de surpoids, de contraception ou les problèmes bucco-dentaires sont deux fois plus importants, pire encore le saturnisme qui fait son son apparition chez des très jeunes enfants qui font leurs premiers pas dans un habitat insalubre.
Insalubrité, surpopulation, bruit, absence de confort sont autant de freins à la réussite scolaire.
Pas de lieu pour travailler, à cela s'ajoute pas de moyens pour le matériel ou les sorties scolaires... Privations de consommation, ruptures de liens familiaux sont là encore des conséquences désastreuses de la précarité sur la construction intellectuelle, économique et sociale de l'enfant ou de l'adolescent.
Dominique VERSINI dresse un constat saisissant qui ne devrait pas faire sursauter notre nouvelle ministre de la solidarité, occupée à ranger ses dossiers de sport ou de santé (on ne savait plus très bien).
D'ailleurs inutile qu'elle se donne du mal la politique de Sarkozy pour rendre les riches plus riches n'a que faire des pauvres qui sont plus nombreux, plus jeunes, plus pauvres.

Texte rédigé par Magali Adam Revert

15 novembre 2010

Aung San Suu Kyi enfin libre !

« Aucune machinerie d’Etat, fût-elle la plus écrasante, ne peut empêcher le courage de ressurgir encore et toujours, car la peur n’est pas l’élément naturel de l’homme civilisé ».
Ces mots de Aung San Suu Kyi résument son combat et le sens qu’elle donne à tout pouvoir politique.
Après avoir gagné, avec son mouvement, La ligue nationale pour la démocratie, les élections en 1990, le scrutin est annulé par la junte militaire qui prend le pouvoir, et elle, emprisonnée.
Des années durant elle va poursuivre la lutte, refusant de quitter le pays, vivant loin de ses enfants mais soutenue par les forces progressistes du monde entier quand ses partisans sont également emprisonnés ou directement supprimés.
Libérée ce 13 novembre, grâce à la pression internationale, mais après la tenue le 7 novembre d’élections tronquées, le prix Nobel de la Paix a immédiatement fait savoir qu’elle reprenait le combat pour la démocratie et la réconciliation nationale.

Dès sa libération, au nom du Parti socialiste, Martine Aubry a salué le courage de Aung San Suu Kyi.
Elle a exprimé sa joie et demandé à ce que la France et l’Union européenne maintiennent la pression à l’égard du pouvoir dictatorial birman afin que rien maintenant ne vienne contredire cet immense espoir pour tous les démocrates.

Texte rédigé par André Piazza

12 novembre 2010

Cérémonie du 11 novembre 2010 à Elbeuf

Sous une pluie battante et un vent qui l'était tout autant, Djoudé Merabet maire d'Elbeuf, les élus municipaux, les associations d'anciens combattants et de nombreux elbeuviens ont célébré la commémoration du 11 novembre sur la place de l'Hotel de Ville.
la maire a salué "le travail de transmission de la mémoire accompli par les associations d’anciens combattants, la Société d’Histoire d’Elbeuf, les enseignants de l’école Molière, l’association Anim’Elbeuf et du collège du Mont Vallot.

La participation des enfants à cette cérémonie, qui ont lu des textes, et ont jouer de courtes scènes de théâtre a démontré que cette mémoire n’était pas morte, figée entre deux pages de livres d’histoire.
Notre mémoire ne doit pas faiblir, et l’hommage annuel rendus aux victimes du premier conflit mondial nous permet d’entretenir la flamme.

Commémorer le 11 novembre 1918, c’est accomplir notre devoir de mémoire vis-à-vis de ceux qui ont légué les valeurs de courage pour la défense de la Nation et de la démocratie mais aussi celle du pacifisme.
C’est également espérer, à travers leurs engagements, dans un avenir que l’on souhaite toujours meilleur et solidaire.

Il n’est donc pas vain d’associer à ce souvenir les batailles quotidiennes pour combattre, sans relâche, ce qui divise : l’indifférence, l’intolérance, la xénophobie, l’individualisme et le repli sur soi.

10 novembre 2010

Réforme territoriale : Communiqué de la FNESR

Le Sénat a adopté le projet de réforme des collectivités tel qu'il a été proposé par la commission mixte paritaire, par 167 voix contre 163… à peine quatre voix.
Le projet que le Gouvernement et l'UMP imposent n’est pas une réforme mais une régression pour notre pays.

Ce n’est pas une « simplification » mais une complexification, avec la création d’un échelon supplémentaire de collectivités.

Ce n’est pas une clarification mais une confusion, avec la création d’un élu hybride entre départements et régions.

Ce n’est pas un progrès de la cohésion de notre pays, mais l’avènement du « chacun pour soi », avec la création d’un « délit de solidarité territoriale » entre collectivités.

Ce n’est pas une démocratisation mais un changement des règles de la démocratie pour que l’ump gagne les élections locales, avec les modes de scrutin du conseiller territorial, qui limiteront en outre la parité et la diversité politique.

Le Gouvernement se comporte avec la morgue de celui qui sait pouvoir faire plier les parlementaires, les syndicats, les collectivités territoriales.
La vraie victoire d’un gouvernement, ce n’est pourtant pas d’arracher le vote d’un texte punitif, au mépris de toutes les propositions constructives, de gauche et de droite.
La vraie victoire d’un gouvernement, c’est lorsque ses politiques publiques produisent des effets bénéfiques pour la population.
En ce qui concerne l’organisation de notre territoire national, comme en ce qui concerne notre modèle social – retraites ou sécurité sociale –, il ne peut y avoir de vraie victoire du gouvernement si les Français et les collectivités locales se prononcent aussi clairement contre ses propositions.
Sur un sujet tel que l’organisation de nos collectivités territoriales, un vote aussi serré, sur un texte aussi régressif, est la marque de fabrique d’une loi inapplicable.

Menacer de punir plus est à la portée de tous les gouvernements.
Mais cela ne s’appelle pas réformer le pays.
Pour construire un avenir meilleur, pour améliorer l’organisation de notre pays, les voies du dialogue démocratique, respectueux de chacun, sont les seules qui s’offrent à nous.

C’est en tout cas dans ce sens que nous commençons déjà à préparer la véritable réforme des collectivités territoriales telle que nous la mènerons en 2012.

08 novembre 2010

La phrase du jour

" Je dis que Nicolas Sarkozy est aujourd'hui un des problèmes de la France et parmi les principaux problèmes qu'il faut régler et qu'il est temps que la parenthèse politique que nous vivons depuis 2007 soit refermée".

Dominique de Villepin au Grand Rendez-vous Europe 1/Le Parisien

07 novembre 2010

Et de 8...

C’est en effet la huitième fois que les opposants à la réforme des retraites se sont retrouvés hier à Rouen sur le cours Clémenceau malgré une pluie battante.
Les élus et militants du Département avaient une fois de plus répondu à l’appel et se distinguaient en portant fièrement drapeaux et ballons aux couleurs du PS.
Certes, la réforme a été votée.
Certes, les manifestants étaient moins nombreux (10 à 15 000 selon les organisateurs) que les fois précédentes, mais une fois encore, ils ont montré qu’ils n’abandonnaient pas la lutte même si celle-ci s’oriente désormais vers d'autres revendications comme le chômage des jeunes, l’emploi des seniors et les conditions de travail.
Un fort sentiment de rejet de Nicolas Sarkozy et de son gouvernement était également palpable : « Sarko ton CDD ne sera pas renouvelé » ou encore « Sarko on s’en rappellera en 2012 » fusaient du cortège.
Les organisations syndicales et les formations politiques, bien que constatant moins de participants, se réjouissaient de voir que les opposants à la politique du gouvernement pouvaient encore se mobiliser, voyant là une force qui pourrait s’unir à l’avenir pour d’autres combats.

Au soir de cette journée d’action, sur le plan national, on dénombrait environ 1,2 million de manifestants au sein de 240 cortèges.
Le PS prenait acte du recul de la participation, Benoît Hamon se félicitant néanmoins du bilan global du mouvement, "exceptionnel par le témoignage de solidarité entre les Français du public et du privé, entre jeunes et moins jeunes durant les cinq mois où les gens sont descendus dans la rue".
Martine Aubry, quant à elle, se montrait plus offensive, estimant que Nicolas Sarkozy ne serait "pas quitte" de cette loi, même une fois promulguée.
La première secrétaire a promis que "jusqu'au bout, les socialistes seront avec les Français et avec les syndicats », et a ajouté que « les manifestations seront sans doute d'une autre nature, mais qu’il faudra continuer à dire au président de la République qu'on ne prend pas des décisions de cette nature contre les Français".
Rappelant une nouvelle fois que notre parti s'est engagé à revenir sur cette réforme en cas de victoire aux prochaines présidentielles, la maire de Lille a chargé frontalement Nicolas Sarkozy : "On ne gère pas notre pays en le divisant, comme il le fait dans d'autres sujets, entre les Français et les non-Français par exemple. On ne dirige pas le pays sans préparer l'avenir, sans donner le cap, et en créant jour après jour des inégalités."
Une autre journée d’action, prévue courant novembre, doit être décidée dans les prochains jours par les organisations syndicales.
Les elbeuviens ne manqueront pas de s'y associer.

Texte rédigé par Fréderic Penalver.

05 novembre 2010

Réforme territoriale : aux parlementaires d’assumer leurs responsabilités !

La réforme territoriale voulue par le Président Sarkozy, bâclée, élaborée sans
concertation des élus suscite, depuis presque un an qu’elle est discutée dans les
deux Assemblées, la colère des élus locaux et l’hostilité des parlementaires, y
compris parfois dans la majorité.
L’Assemblée Nationale et le Sénat ayant voté en deuxième lecture deux textes
diamétralement opposés, c'est à une commission mixte paritaire, composée de
sept députés et sept sénateurs, que revenait la tâche de concilier les conceptions des deux Assemblées : cette commission qui devait initialement se réunir le 13 octobre, avait été repoussée, à la demande officieuse du gouvernement qui redoutait un échec, au mercredi 3 novembre.
Malgré la pression présidentielle et gouvernementale, le texte de « compromis » n’a été accepté que de justesse, par 7 voix pour, 6 contre et une abstention.
L’issue de la Commission Mixte Paritaire, obtenue grâce au ralliement d’un
sénateur centriste, ne préjuge pourtant pas de l’adoption définitive du texte.
Un troisième vote dans les deux Assemblées est nécessaire pour parvenir à
l’adoption définitive du texte.
Le Parti Socialiste appelle l’ensemble des parlementaires à prendre leurs
responsabilités, à assumer leur hostilité à la contre-réforme du gouvernement, et à exercer leur devoir d’élus républicains en votant contre ce compromis inadmissible et indigne des exigences de la décentralisation.

04 novembre 2010

Visite de Hu Jintao en France

Le renforcement de l’amitié et de relations économiques et politiques fortes entre la France et la Chine est nécessaire et positif pour l’avenir de nos deux pays comme pour répondre ensemble aux grands défis mondiaux.
Pour être utile, la visite en France du président chinois Hu Jintao, devrait être l’occasion d’aborder ouvertement et franchement avec lui un certain nombre de sujets de préoccupation commune.
Puissance incontournable, la Chine fait face à de nouvelles responsabilités qu’elle doit accepter d’assumer.
Une meilleure régulation du commerce est la condition d’une mondialisation juste.
Les échanges commerciaux avec la Chine doivent à l’avenir reposer sur des
principes de réciprocité et de juste échange.
Les désordres monétaires, dont la sous-évaluation de la monnaie chinoise est une des causes, doivent faire place à une gestion coordonnée et équilibrée des taux de change.
La Chine n’évolue pas suffisamment sur cette question, qui doit être l’objet d’une discussion franche.
L’amélioration des normes sociales et environnementales, condition d’un
développement chinois durable, doit également être à l’ordre du jour.
Concernant l’environnement, chacun comprend que la duplication par les chinois de l’ancien modèle de développement occidental, lui-même en voie d’épuisement, n’est pas possible.
Plusieurs planètes n’y suffiraient pas. Il est dans notre intérêt commun d’inventer ensemble un nouveau modèle de développement.
C'est aussi en respectant la Chine dans ce qu'elle peut apporter au monde que la France peut et doit assumer de lui parler franchement des droits de l'Homme.
Personne ne nie que la Chine a évolué depuis 1989.
Chacun peut constater qu'à la faveur de la croissance chinoise, les droits sociaux sont désormais au coeur des débats publics en Chine.
Mais la censure continue de contenir la liberté d'opinion et de conscience.
La promotion de la démocratie y est toujours interprétée comme une menace au lieu d’être perçu comme un atout, malgré les récentes déclarations, encourageantes, du Premier ministre Wen Jiabao qui n’ont malheureusement pas été suivies d’effet.
En Chine comme ailleurs, il n'est pas de développement pérenne sans respect des libertés fondamentales.
Un de ces signes attendus est plus que jamais d'actualité : la libération du Prix Nobel de la Paix Liu Xiabo.
Cette visite pourrait ainsi être l'occasion pour N. Sarkozy de donner du sens et de la consistance à la politique étrangère de la France, loin des gesticulations, des improvisations et des postures

02 novembre 2010

Les élus inaugurent le carré militaire


Ce 1 novembre les élus elbeuviens ont inauguré le carré militaire au cimetiére St Jean à Elbeuf.
Cette inauguration a été le fruit d'un long travail des élus et du souvenir français local et départemental présents pour l'occasion.
Dans son allocution, Djoudé Merabet a rappelé qu'"une énorme tâche nous est confiée, celle de rendre vivaces les jours horribles que ces femmes et ces hommes vécurent, et d’éduquer notre jeunesse, pour qu’à son tour, elle puisse transmettre aux générations futures leur souvenir."
Comprendre le passé pour vivre son présent...