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30 mai 2011

Les elbeuviens à la convention

Une importante délégation de militants socialistes elbeuviens s'est rendu ce samedi à la convention nationale de ratification du projet.
Adopté à l'unanimité, celui ci constituera le socle des propositions que notre futur candidat à la présidentielle portera durant cette campagne auprés des français.
Martine Aubry a conclut son discours: «au printemps prochain, la France n'aura pas simplement rendez vous avec une saison nouvelle, elle aura rendez-vous avec elle même».
 
 
A nous de nous emparer ce ce projet pour le présenter aux elbeuviens.

25 mai 2011

Guéant, un soldat sur le Front

Chaque semaine ou presque, Claude Guéant, ministre de l’Intérieur, lâche une petite phrase destinée à plaire aux électeurs du Front National dont la droite - dite républicaine - veut s’attirer les bonnes grâces pour les prochaines présidentielles ».
Il a déclaré le 22 mai dernier au micro d’Europe 1 : « Contrairement à une légende, il est inexact que nous ayons besoin de talents, de compétences (issus de l’immigration). Il y a de l’ordre de 2 000 personnes qui viennent à ce titre. Mais on n’a pas besoin de maçons, de serveurs de restaurants. Il y a en France de la ressource parmi les Français ».
Comme cela fleure bon le discours lepéniste et son crédo « La France aux Français ».
Guéant tient des propos racistes que ne sauraient renier les tenants de l’extrême droite.
Dans sa volonté de réduction de l’immigration légale (passer de 200 000 à 180 000 le nombre d’immigrés légaux), et prenant prétexte du « communautarisme » (sic) et de l’échec de l’intégration (qu’il fait peser au demeurant sur les enfants d’immigrés et non sur les différents ratages politiques dans ce domaine), le ministre de l’Intérieur, en s’attaquant à l’embauche des étrangers en France, stigmatise non seulement une fois de plus les étrangers, mais crée de surcroît une discrimination entre les étrangers d’origine européenne et les autres : « le quart des étrangers qui ne sont pas d’origine européenne sont au chômage, les deux tiers des échecs scolaires, c’est l’échec d’enfants d’immigrés ».
Plutôt que de chercher les vraies causes de cet échec, notamment dans l’inégalité des conditions d’études selon les catégories sociales ou dans l’affaiblissement du système éducatif pour des raisons budgétaires, M. Guéant crée une fois de plus l’amalgame et la division et alimente la peur de l’étranger.

Trop de maçons et de serveurs immigrés ?
M. Guéant prétend que la France « n’a pas besoin de maçons, de serveurs de restaurants » venus de l’étranger.
Ce n’est pas du tout l‘avis des employeurs qui reconnaissent régulièrement rencontrer des difficultés de recrutement dans ces secteurs, difficultés liées en grande partie aux dures conditions de travail, aux faibles salaires, aux horaires, etc.
De plus, en sa qualité d’ex-directeur de cabinet du ministre de l’Intérieur et d’ancien secrétaire général de l’Elysée, il sait parfaitement que l’Etat français a signé plusieurs accords bilatéraux sur la gestion des flux migratoires avec différents pays (notamment avec le Sénégal en 2006, la Tunisie en 2008 et le Cameroun en 2009) qui prévoient justement l’arrivée en France de milliers d’étrangers dont plus de la moitié de salariés sur des métiers en tension (des listes de métiers sont établies sous la houlette du Medef, où figurent entre autres le bâtiment et la restauration et sont intégrées à ces accords).

Alors, s’agissant de l’immigration légale, de deux choses l’une : ou bien M. Guéant souffre d’amnésie, au point d’en oublier les accords votés ces dernières années au Parlement et qui constituent l’armature de la politique migratoire de la France, ou bien, dans son rôle de petit soldat du sarkozysme en mission pour 2012, il fait fi du passé, pour mieux caresser dans le sens du poil les électeurs du FN ?
Dans les deux cas, cela ne renforce ni son image de ministre, ni les valeurs que l’on est en droit d’attendre d’une droite – dite républicaine !
 
Texte rédigé par Frédéric Penalver

21 mai 2011

Vote des militants socialistes sur le projet 2012

Les militants de la section d'Elbeuf se sont prononcés à une large majorité pour le projet des socialistes à l'occasion du vote du 19 mai.
A plus de 97% , le projet a été approuvé.
Parallèlement à cela, l'amendement proposé par Didier Marie a été approuvé à  96% par les militants.

16 mai 2011

A la mémoire de François Mitterrand

A Elbeuf, les socialistes de l'agglomération se sont réunis pour célébrer la victoire de François Mitterrand le 10 mai 1981.
En présence de Djoudé Merabet, Jean Marie Delafosse, Vincent Rabillard, Laurent Bonnaterre, Paul Racé, Nadia Mezrar et de trés nombreux socialistes, la cérémonie a été à la hauteur de l'événément célébré. 
Vous trouverez ci aprés l'intégralité du discours de Didier Marie.

« Etre fidèle à une tradition, c'est être fidèle à la flamme et non à la cendre » écrivait Jean Jaurès.
Nul ne sait si le 10 mai 1981 sera célébré demain sous cette forme, dans vingt ou dans trente ans ; mais ce dont je suis convaincu, c'est que lorsque l'histoire d'un homme rejoint le cœur et les aspirations d'un peuple, la flamme qu'il a allumée ne s'éteint jamais.
30 ans après, et à l’aube d’échéances décisives pour notre pays et pour les socialistes, le souvenir de ce soir orageux du 10 mai 81 donne des envies de victoire et du courage pour le combat qui s’annonce.
Souvenons-nous un instant, chacun à notre place, du frisson qui traversa notre pays le 10 mai 1981 à vingt heures.
Cet espoir vite transformé en explosion de joie, en liesse populaire, traversa le pays tout entier et au-delà ; il y avait bien ici ou là quelques visages défaits, mais l'immense majorité des Français a accueilli l'élection de François Mitterrand à la Présidence de la République comme une libération, un espoir, la réalisation d'une part de rêve.

En effet, pour la première fois depuis vingt-trois ans, les vieux épouvantails, les arguments usés, n'avaient plus eu prise sur un peuple qui après une si longue attente se sentait enfin libre.
Libre d'aller à la rencontre d'un homme, d'un projet, d'une gauche unie, libre de réaliser cette alchimie subtile qui conduit chacun, à partir de sa situation sociale ou économique, à déterminer son choix politique, à mettre un terme à ce qui était ressenti alors comme une frustration, celle d'être écarté du pouvoir depuis si longtemps, trop longtemps.
Et dans l'émotion, dans l'enthousiasme, grâce à une majorité confirmant le choix fait en la personne de François Mitterrand, grâce à une majorité parlementaire, très vite une succession de réformes essentielles, aujourd'hui patrimoine commun de tous les Français, furent mises en oeuvre, transformant cette part de rêve en réalité quotidienne : retraite à 60 ans, cinquième semaine de congés payés, 39 heures, droits nouveaux des travailleurs, décentralisation, égalité hommes-femmes, qui forment le socle de ce qui, depuis trente ans, fonde l'action de la gauche.
D'une certaine manière, nous avions l'ambition de changer la vie et modestement nous y avons contribué, mettant en harmonie les promesses électorales ambitieuses, les actes de notre vie politique et les effets bénéfiques que nous voulions pour le peuple tout entier.
Même si l'aggravation de la crise économique devait masquer et ternir cette oeuvre, cette grande oeuvre, ces forces de progrès ont réussi, et ce n'est pas le moindre de leur mérite, à montrer à partir de cette victoire du 10 mai 1981 qu'elles avaient la capacité de gouverner sur le long terme et qu'elles pouvaient le faire ensemble.
Ce qui habitait François Mitterrand, ce qui le hantait, c'était d'inscrire durablement la gauche au pouvoir, parce qu'il savait que seule la durée s'inscrit dans l'histoire et que l'éphémère passe et s'oublie.
A partir du 10 mai, la France est entrée dans l'alternance possible et pas forcément souhaitée.
Ceux qui gouvernent alors prouveront leur capacité à exercer les responsabilités qui leur sont confiées.
La gauche perdait ainsi, et c'est heureux, son image traditionnelle d’agitateur, de poil à gratter de la vie politique française, nécessaire sans doute, mais tolérée uniquement dans l’opposition par ceux qui, à droite, se pensaient les seuls légitimes pour présider aux destinées de la France.
Avec l’élection de François Mitterrand et l’arrivée de la gauche au pouvoir, c'est le fonctionnement même du système politique français qui a durablement changé.
Même si la réalité économique et sociale est parfois cruelle, n'oublions pas cette part essentielle du rêve devenu réalité, celle des conquêtes spectaculaires dans le domaine des libertés publiques, la suppression des tribunaux d'exception et l'abrogation de la loi sécurité liberté, mais aussi et on l'oublie trop souvent la suppression de la tutelle étatique sur l'audiovisuel.
Toutes ces lois ont élargi le champ des libertés fondamentales en France. Surtout l'abolition de la peine de mort dont nous sommes tous fiers, promise courageusement par François Mitterrand durant sa campagne contre une majorité de l'opinion, qui ramenait la France dans le groupe des nations civilisées.
Nous avons assisté ces dernières années à un spectaculaire retour en arrière, conduit par l’actuel titulaire de la fonction, Nicolas Sarkozy : montée des inégalités, musellement de la presse, mise au pas de la justice, xénophobie et racisme d’Etat tenant lieu de politique d’immigration...
Sans vouloir refaire les combats d’hier, il est troublant de constater à quel point la période actuelle appelle à un sursaut comparable à celui qui a saisi la France en 1981.

Laissons le soin à l'histoire et à ses auteurs de porter leur appréciation, au-delà du temps présent et des passions de l'instant, sur le bilan de ses deux septennats.
Je voudrais simplement ce soir retracer brièvement ce qu’a été l’apport de François Mitterrand à la gauche et au Parti socialiste.

Il fallut une volonté exceptionnelle pour engager et poursuivre, depuis 1963, la reconstruction d'une gauche d'alternance à partir des débris et des restes, des contradictions et des pesanteurs, mais cette volonté qui l'animait s'appuyait sur une intelligence politique exceptionnelle.
François Mitterrand disait qu'il faisait partie du paysage politique de la France, qu'il était né d'elle.
C'est sans doute de cette fusion intime avec la France que cette intelligence politique trouva ses sources.
Peu importe ses inspirations, Jaurès ou Blum ou une évocation de jeunesse plus traditionnelle, ce qui nous importe, c'est ce cheminement idéologique qui l'a conduit à cette osmose avec notre peuple.
Cette quête, François Mitterrand eut la lucidité et le courage de l'interrompre lorsqu'il s'opposa à ce qu'il considérait comme un véritable coup de force constitutionnel, renonçant alors aux ors de la République, aux palais nationaux et pour un temps fort long, il se rendit par là même disponible pour devenir le maître artisan de ce chef-d'oeuvre au long cours, l'union de la gauche.

Sûr de lui-même, persuadé de la justesse de son analyse pendant 18 ans avec la liberté qui le caractérisait, il ne cessa pas au fond d'interroger par ses prises de position les élus, les militants et les sympathisants des diverses fractions de la gauche pour les amener eux-mêmes à conclure que la voie de l'union était la seule possible.
François Mitterrand savait rendre intelligents ses interlocuteurs et les persuader qu'ils l'étaient vraiment.

Mesdames et Messieurs, chers amis, le 10 mai 1981 restera une date importante de l'histoire de France.
Pour nous, pour beaucoup d'entre nous qui en sommes les acteurs et pour les autres qui en seront les héritiers, n'oublions pas la leçon qui nous a été donnée et veillons à ce que l'héritage ne se dégrade pas.
La gauche a vocation à diriger pour conduire le progrès, mais elle ne peut le faire qu'unie, autour des socialistes qui en sont le socle.
Le long chemin vers mai 2012 est engagé, et les mois qui viennent seront animés et intenses.
Il nous revient de faire de ces échéances le point de départ d’une nouvelle ère pour notre pays.
Sachons nous montrer digne de l’héritage de François Mitterrand, pour offrir à ceux qui étaient trop jeunes pour l’avoir vécu un autre grand soir de mai de la gauche, et raviver dans la mémoire de tous les autres les souvenirs de ces moments de joie et d’espérance.
François Mitterrand, dans son discours d’investiture, nous montrait déjà la voie :
« Dans le monde d'aujourd'hui, quelle plus haute exigence pour notre pays que de réaliser la nouvelle alliance du socialisme et de la liberté, quelle plus belle ambition que de l'offrir au monde de demain ? »
Je vous invite à suivre ce chemin, et à rendre à François Mitterrand le meilleur des hommages : permettre l’élection d’un socialiste à la Présidence de la République en mai 2012 !







12 mai 2011

Les bénéficiaires du RSA dans le collimateur de la droite

Didier Marie s’inquiète des chemins empruntés par le gouvernement, chemins qui s’éloignent de plus en plus de la responsabilité et de l’efficacité politique.

« Les propositions de Laurent Wauquiez sur le plafonnement des minima sociaux et sur la mise en place d’un service social sont démagogiques et préoccupantes. Elles dénotent à la fois une méconnaissance totale des obligations déjà inscrites dans la loi pour les bénéficiaires du RSA et une volonté de la droite de stigmatiser les plus pauvres.
Sur les obligations d’emploi, où est l’Etat ?
M.Wauquiez semble ignorer que la loi RSA prévoit déjà que les bénéficiaires sont soumis à l’obligation de rechercher un emploi, de créer leur propre activité ou de suivre les actions d’insertion sous peine de voir leur allocation suspendue.
Aujourd’hui que se passe-t-il réellement ?
En Seine-Maritime, comme ailleurs, dans le cadre d’une convention entre le Pôle emploi et le Département, les bénéficiaires du RSA qui peuvent travailler sont obligatoirement orientés vers le Pôle emploi qui doit les suivre.
Mais les agents de ce service public de l’Etat ont-ils réellement les moyens d’assurer cet accompagnement vers l’emploi ?
L’Etat manque à l’appel en n’assumant pas ses propres obligations.
Le Département de Seine-Maritime s’est fixé comme priorité de donner à ces personnes en difficulté plus de chances d’accéder à l’emploi, grâce à l’Aide Régionale à l’Emploi Insertion et à l’activation de la clause d’insertion dans les marchés publics départementaux.
Le Département a aussi prévu pour sa part plus de 2000 contrats aidés pour 2011.
Mais ces coups de pouce ne devraient pas se substituer au travail d’accompagnement des conseillers de Pôle Emploi.
Les collectivités se dotent des moyens nécessaires pour assurer leur mission d’accompagnement vers l’emploi, les contreparties sont inscrites dans la loi, mais l’Etat se défausse encore.

Sur les minima sociaux, l’Etat veut plafonner un RSA déjà sous le seuil de pauvreté. Tout d’abord la stigmatisation du bénéficiaire du RSA qui gagnerait plus que le travailleur pauvre est volontairement mensongère.
Rappelons à M.Wauquiez que le SMIC net est de 1073€ pour une personne seule, alors que le RSA socle est à 410€ soit une différence de 663€. C’est du simple au double !
Pour un couple, selon les chiffres du ministre des solidarités, la différence est de 309€.
Ce n’est pas négligeable !
 La réalité, c’est qu’en 2011, quand on perçoit le RSA, on est en dessous  du seuil de pauvreté.

Ensuite Laurent Wauquiez indique qu’il souhaite plafonner à 75% du SMIC tous les minima sociaux, se focalisant sur le RSA.
En tant que ministre des affaires européennes, il devrait savoir que les études européennes démontrent que la France est dans la moyenne des pays de l’Union, avec des montants de minima sociaux à 50% du SMIC (ou équivalents européens).
Certes l’Allocation Adulte Handicapé et le « minimum vieillesse » sont au-dessus, mais M.Wauquiez souhaite-t-il plafonner aussi ces minima-là ?
Il devrait, dans ce cas, le préciser et arrêter les amalgames à des fins électoralistes.
Pour finir, M.Wauquiez fait l’apologie du travail à titre gratuit, ce qui signerait la fin des contrats aidés et contribuerait à dévaloriser le travail effectué aujourd’hui par des salariés.
Le gouvernement se moque des Seinomarins et je condamne fermement tout ce qui stigmatise une partie de la population pour mieux masquer l’incapacité de la droite à régler la question du chômage, de l’accompagnement vers l’emploi et plus largement de la précarité. »

06 mai 2011

Honte sur le foot français


 Depuis les révélations du site Médiapart sur les discussions au cœur des institutions du football français sur les quotas de joueurs, la FFF ajoute maintenant l’indignité à l’irresponsabilité.

Mr Belkacemi qui a reconnu être à l’origine des enregistrements dévoilant les huis clos de LFFF - où l’on échange tranquillement sur les quotas de joueurs en fonction des aptitudes physiques liées à leur couleur et où l’on pratique les amalgames les plus sots - est qualifié de traitre par les plus hautes autorités du foot français. 
Pendant ce temps là le gouvernement enquête timidement en attendant que l’orage passe.

Rappelons que la FFF comme toutes les fédérations sportives est délégataire de service public et engagée par une convention d’objectifs et de moyens avec l’Etat.
 Sa défense la discrédite chaque jour un peu plus.

-       elle accuse Médiapart d’avoir créé le scandale. C’est quasiment au mot près ce qu’Eric Woerth ou Michèle Alliot-Marie déclaraient il y a quelques mois quand ils étaient confrontés à la révélation de leurs turpitudes.
-       elle accuse Mr Belkacemi de trahison, dénonçant son manque de loyauté à l’égard de la FFF quand celui-ci n’a fait que rendre publiques des discussions et des pratiques que tout citoyen, attaché à la République, à ses lois et ses valeurs, a le devoir de dénoncer. 
La loyauté vis à vis de l’employeur primerait donc sur l’éthique et la loi.
Ces déclarations sont aussi consternantes que les faits mis à jour par les enregistrements de Monsieur Belkacemi.

Il est urgent de tout revoir au sommet du foot français.
  
Communiqué de Benoît Hamon,  porte parole du PS et Brigitte Bourguignon, Secrétaire nationale aux sports

05 mai 2011

Les socialistes rendent hommage à François Mitterrand

François MITTERRAND, le 10 mai 1981, a écrit l’une des plus belles pages de la gauche française.

30 ans après, ses sections du Parti Socialiste du pays d'Elbeuf célèbrent cette victoire le mardi 10 mai à partir de 19h30.

- Dépôt de gerbe et allocution à partir de 19H30 Place François Mitterrand à Elbeuf 

- Projection du film documentaire Film « 1981, Un été en rose et noir" Documentaire qui dresse le portrait des anonymes qui ont contribué à la victoire en mai 1981

- Exposition et pot de l'amitié


Si vous souhaitez participer à la projection, inscrivez vous à l'adresse suivante : section-ps-elbeuf@voila.fr

04 mai 2011

Réunion de section sur le projet socialiste


La section a donné le top départ du travail de popularisation de notre projet socialiste pour 2012 à l'occasion de la réunion de section qui s''est tenu mardi à Elbeuf.
En présence de Didier Marie, les nombreux militants  ont pu échanger sur les propositions du parti constituant le socle du projet.
A l'issue d'une présentation des grandes thématiques, Djoudé Merabet, Vincent Rabillard et Albert Lannes se sont livrés au jeu de questions réponses avec la salle en insistant fortement sur la nécessité de se prononcer massivement pour ce texte lors du vote du 19 mai.
Retrouvez l'intégralité des propositions sur le site du Parti Socialiste. 
 

02 mai 2011

Un 1er mai à Elbeuf

Hausse du pouvoir d'achat, partage du temps de travail, dénonciation de la politique gouvernementale...
Ces messages ont été scandé par les nombreux syndicalistes et socialistes des sections du territoire elbeuvien présents à la manifestation intersyndicale du dimanche 1 mai.
Comme chaque année, nous nous sommes rendus ensuite à Caudebec Les Elbeuf au pied de la stéle à l'effigie de Jean Jaurès afin de célébrer sa disparition.
En présence de Didier Marie, Guillaume Bachelay, Nadia Mezrar, Alain Ovide, Vincent Rabillard et de nombreux socialistes militants et sympathisants, Djoudé Merabet a rappelé la fierté d’être socialistes, dans cette agglomération qui est depuis des siècles le terrain de luttes sociales et d’expériences municipales, qui ont contribué à améliorer la vie de nos concitoyens.

Il a rappelé aussi que les valeurs et la morale sont bafouées par un gouvernement qui n’a plus honte de rien faisant les yeux doux au Front National ou encore à Berlusconi en fonction d’intérêt électoraliste et populiste.





Et a conclu en rappelant que le projet de notre Parti doit permettre de redonner un nouveau souffle, un nouvel élan, un nouvel espoir en responsabilité.