Local de la Section : 23 place de la République à Elbeuf. Permanences le samedi de 10H00 à 12H00
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24 février 2008
23 février 2008
Débat de campagne avec Didier Marie
Retrouvez Didier Marie sur l'émission " La voix est libre " en copiant le lien
suivant : http://jt.france3.fr/regions/popup.php?id=e14b_voixlibre&video_number=0
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18 février 2008
Un 1er Mai de lutte et de souvenir.
Les slogans dénonçant la politique économique et sociale du gouvernement Sarkozy ont retenti dans les rues d’Elbeuf.
A l’appel des syndicats de l’agglomération d’Elbeuf, de nombreuses personnes ont défilé dans les rues de notre commune ce 1er Mai.
Les mots d’ordre de cette manifestation étaient multiples :
• Hausse du pouvoir d’achat
• Sauvegarde des retraites
• Dénonciation de la présidence « bling-bling »
De nombreux camarades socialistes de la section et de l’agglomération se sont joints aux manifestations pour montrer leur soutien et participer à cette lutte.
Les socialistes se sont ensuite rendus à Caudebec les Elbeuf (exceptionnellement face à l’Espace Bourvil et non pas place du Marché) pour la traditionnelle cérémonie d’hommage à Jean Jaurès.
Très nombreux, les militants et sympathisants de l’agglomération ont écouté avec gravité le discours éloquent de Nadia Mezrar secrétaire de section de St Pierre les Elbeuf, qui a fustigé le président de la république et son gouvernement.
A l’appel des syndicats de l’agglomération d’Elbeuf, de nombreuses personnes ont défilé dans les rues de notre commune ce 1er Mai.
Les mots d’ordre de cette manifestation étaient multiples :
• Hausse du pouvoir d’achat
• Sauvegarde des retraites
• Dénonciation de la présidence « bling-bling »
De nombreux camarades socialistes de la section et de l’agglomération se sont joints aux manifestations pour montrer leur soutien et participer à cette lutte.
Les socialistes se sont ensuite rendus à Caudebec les Elbeuf (exceptionnellement face à l’Espace Bourvil et non pas place du Marché) pour la traditionnelle cérémonie d’hommage à Jean Jaurès.
Très nombreux, les militants et sympathisants de l’agglomération ont écouté avec gravité le discours éloquent de Nadia Mezrar secrétaire de section de St Pierre les Elbeuf, qui a fustigé le président de la république et son gouvernement.
Manifestation à Paris Ni pauvre, ni soumis
Plus de 30.000 personnes ont répondu samedi à l'appel du collectif d'associations de personnes handicapées Ni Pauvre Ni Soumis. Accidentés de la route ou malades, ils sont venus en nombre pour dire stop à une société qui exclut les personnes handicapées. Des promesses de revalorisation de l'allocation adulte handicapé (AAH) non tenues ont été le point de départ de ce mouvement.
Avec une allocation mensuelle de 628 € - montant maximum de l'allocation adulte handicapé – handicap et pauvreté font hélas bon ménage.
« Pouvoir d'achat, pouvoir de rien » tel était le slogan des manifestants.
En attendant des avancées pour un revenu décent, un premier rendez-vous vient d'être programmé avec le Ministre du Travail.
Mais l'accès à l'emploi n'est qu'une toute petite partie de l'iceberg et n'apportera aucune solution à ceux qui ne peuvent pas travailler.
Ceux-ci devront se contenter d'une revalorisation de 5%.
On est loin de pouvoir crier victoire quand on sait que les bénéficiaires de l'AAH ne sont pas dispensés des franchises médicales.
Le Parti socialiste rappelle qu’il s’est prononcé pour l’objectif de parité de l’AAH avec le Smic, dans les plus brefs délais possibles. Il considère que l’annonce présidentielle ne répond absolument pas aux attentes des personnes handicapées.
Peu de temps après la manifestation Ni Pauvre Ni soumis, un autre cortège déambulait dans les rues de Paris, cette fois composé de personnes âgées qui plaidaient pour leur retraite.
Un nouveau genre de manifestants pour un nouveau modèle économique chaque jour un peu plus inacceptable.
Texte rédigé par Magali Adam Revert
Hors jeu le racisme dans les stades
Les amateurs de foot français ont du voir les images ce week end du joueur de football d'origine marocaine copieusement insulté par un supporter (mais a-t-on le droit de continuer à l'appeler comme cela) lors du match Metz-Valenciennes.
Quand de tels agissements arrivent sur les stades de football, il est indispensable de prôner la plus grande fermeté.
La loi doit etre appliquée et l'auteur de ces faits condamnés.
Ne laissons pas le football français gangréné par ce fléau que connaissent d'autres pays en Europe.
Les valeurs de ce sport sont à l'opposé de ce spectacle donné par ce pseudo-supporter.
Tolérance, solidarité sont l'âme du mouvement sportif en France.
Nos enfants doivent s'en inspirer.
Et c'est pour cela que les acteurs du football français doivent donner un signe fort pour ne plus voir cela.
La seule réponse, c'est le carton ROUGE.
Quand de tels agissements arrivent sur les stades de football, il est indispensable de prôner la plus grande fermeté.
La loi doit etre appliquée et l'auteur de ces faits condamnés.
Ne laissons pas le football français gangréné par ce fléau que connaissent d'autres pays en Europe.
Les valeurs de ce sport sont à l'opposé de ce spectacle donné par ce pseudo-supporter.
Tolérance, solidarité sont l'âme du mouvement sportif en France.
Nos enfants doivent s'en inspirer.
Et c'est pour cela que les acteurs du football français doivent donner un signe fort pour ne plus voir cela.
La seule réponse, c'est le carton ROUGE.
15 février 2008
Plan Banlieue
Le rapport appelé faussement plan « Espoir Banlieue » annoncé par Fadela Amara et présenté par Nicolas Sarkozy mérite qu’on s’y attarde tant celui-ci, pourtant attendu par les élus, les associations et surtout les habitants de ces quartiers est à la limite de l’escroquerie politique.
En effet, alors que le titre même de cet énième plan laissait entendre que le gouvernement avait pris l’ampleur des difficultés rencontrées dans ces quartiers et qu’il se donnerait les moyens d’y répondre, Sarkozy nous met en scène un plan « coquille vide »…
Lors de son discours du 8 février 2008 , les premiers mots ont du faire plaisir aux milliers de travailleurs sociaux, bénévoles associatifs qui œuvrent dans ces quartiers…
Citons-le : «vingt ans de travail de tant de femmes et d’hommes de bonne volonté […] de tant d’associations qui ont déployé tant de trésors d’intelligence et de générosité….ou encore « je veux une politique d’égalité des chances sur l’ensemble du territoire ».
La suite, moins appréciable est la traduction des incohérences gouvernementales et de la fumisterie du président.
Incohérence gouvernementale dès les premières lignes car après avoir supprimé des services publics de proximité, donc un peu d’Etat dans les banlieues, Sarkozy nous annonce qu’il mettra dans chaque quartier un représentant de l’Etat.
Incohérence gouvernementale car après avoir évoqué l’effort financier de l’Etat, Sarkozy nous annonce qu’il ne renouvèlera pas certain Contrat Urbain de Cohésion Sociale et donc les crédits qui vont avec.
Incohérence gouvernementale car après avoir baissé les crédits à de nombreuses associations comme ici à Elbeuf, Sarkozy nous annonce qu’il les aidera sur plusieurs années.
Fumisterie car après avoir été l’artisan de la suppression de la police de proximité, il nous annonce qu’il veut « que les habitants et les forces de l’ordre apprennent à se connaitre et à se respecter ».
Alors que le rôle de cette police de proximité crée sous le gouvernement Jospin était justement de rétablir le dialogue.
Fumisterie car il s’agit d’un copier-coller de dispositifs existants ou connus depuis longtemps (écoles de la 2èmes chance, adultes-relais, tutorat et accompagnement en ZEP).
Bref, comme l’a dit Voltaire : On parle toujours mal quand on a rien à dire. "
Banlieue, l'incendie n'est pas éteint...
En effet, alors que le titre même de cet énième plan laissait entendre que le gouvernement avait pris l’ampleur des difficultés rencontrées dans ces quartiers et qu’il se donnerait les moyens d’y répondre, Sarkozy nous met en scène un plan « coquille vide »…
Lors de son discours du 8 février 2008 , les premiers mots ont du faire plaisir aux milliers de travailleurs sociaux, bénévoles associatifs qui œuvrent dans ces quartiers…
Citons-le : «vingt ans de travail de tant de femmes et d’hommes de bonne volonté […] de tant d’associations qui ont déployé tant de trésors d’intelligence et de générosité….ou encore « je veux une politique d’égalité des chances sur l’ensemble du territoire ».
La suite, moins appréciable est la traduction des incohérences gouvernementales et de la fumisterie du président.
Incohérence gouvernementale dès les premières lignes car après avoir supprimé des services publics de proximité, donc un peu d’Etat dans les banlieues, Sarkozy nous annonce qu’il mettra dans chaque quartier un représentant de l’Etat.
Incohérence gouvernementale car après avoir évoqué l’effort financier de l’Etat, Sarkozy nous annonce qu’il ne renouvèlera pas certain Contrat Urbain de Cohésion Sociale et donc les crédits qui vont avec.
Incohérence gouvernementale car après avoir baissé les crédits à de nombreuses associations comme ici à Elbeuf, Sarkozy nous annonce qu’il les aidera sur plusieurs années.
Fumisterie car après avoir été l’artisan de la suppression de la police de proximité, il nous annonce qu’il veut « que les habitants et les forces de l’ordre apprennent à se connaitre et à se respecter ».
Alors que le rôle de cette police de proximité crée sous le gouvernement Jospin était justement de rétablir le dialogue.
Fumisterie car il s’agit d’un copier-coller de dispositifs existants ou connus depuis longtemps (écoles de la 2èmes chance, adultes-relais, tutorat et accompagnement en ZEP).
Bref, comme l’a dit Voltaire : On parle toujours mal quand on a rien à dire. "
Banlieue, l'incendie n'est pas éteint...
12 février 2008
Débat télévisé
L’émission « la voix est libre », sur France 3 Normandie sera consacrée ce samedi 16 février aux Elections Cantonales avec une émission spéciale de 11h00 à 12h00 qui se décline ainsi :
De 11h00 à 11h30 : Débat entre Jean-Louis Destans et Ladislas Poniatowski
De 11h30 à 12h00 : Débat entre Didier Marie et Michel Lejeune.
Dans une période où la droite locale n'ose plus afficher son appartenance à la famille UMP, il est intéressant d'entendre les propositions des représentants locaux.
Tous à vos postes...
De 11h00 à 11h30 : Débat entre Jean-Louis Destans et Ladislas Poniatowski
De 11h30 à 12h00 : Débat entre Didier Marie et Michel Lejeune.
Dans une période où la droite locale n'ose plus afficher son appartenance à la famille UMP, il est intéressant d'entendre les propositions des représentants locaux.
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