A l’occasion de la rentrée scolaire 2013, Didier Marie, Président du Département de Seine-Maritime, maintient l’éducation au coeur des priorités départementales.
« La politique éducative est une priorité essentielle pour le Département, avec un budget pour les collèges multiplié par deux depuis 2004. Nous avons fait le choix politique de mettre en place des actions innovantes pour nos collèges, résolument décidés à ne pas nous cantonner dans un simple rôle de guichet pour les établissements. Nous poursuivons notre objectif de renforcer l’égalité des chances et de développer des dispositifs pour la mise en oeuvre de projets pédagogiques permettant aux élèves de s’épanouir dans leur établissement et d’étudier dans les meilleures conditions.
Depuis 2005, 15 nouveaux établissements ont été livrés pour un montant global d’investissement de 250M€.
A la rentrée scolaire 2013-2014 le nouveau collège Alain à Maromme est mis à disposition des collégiens et des enseignants.
En 2013, ce sont près de 70 M€ qui sont consacrés aux collèges seinomarins. Dotations diverses, actions innovantes, nouveaux établissements, cuisines et autres équipements sportifs, le cadre de vie quotidien des jeunes Seinomarins s’améliore d’années en années.
Le Département est aussi le partenaire actif des Seinomarins pour la rentrée scolaire. Bourses d’éducation, accès à la culture et aux sports pour tous, tout cela constitue aujourd’hui un véritable « coup de pouce » pour les familles et un plus pour la réussite éducative et personnelle
Local de la Section : 23 place de la République à Elbeuf. Permanences le samedi de 10H00 à 12H00
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26 août 2013
Une rentrée plus inclusive
Si
beaucoup d’entre nous ne retiendront que les nouveaux rythmes
scolaires pour cette rentrée scolaire 2013-2014, pour les parents
d’enfants handicapés, elle sera synonyme d’espoir. Jusqu’à
maintenant, faute d’une vraie reconnaissance du métier
d’auxiliaire de vie scolaire (AVS), l’intégration d’enfants
handicapés était pour de nombreux parents, une véritable source de
stress en n’offrant aucune stabilité dans l’accompagnement de
leur enfant, se demandant à chaque rentrée si leur enfant serait
accompagné et avec qui.
Avec
un statut particulièrement précaire et des formations rarement
dispensées, le turn over des avs était évidemment conséquent,
beaucoup d’entre eux étaient contraints de cumuler avec d’autres
emplois ou d’abandonner leurs missions au détriment d’une
activité professionnelle plus décente financièrement. Les fins de
contrats brisaient bien souvent des liens forts entre l’avs et
l’enfant, liens qui pouvaient mettre du temps à s’établir selon
les pathologies.
En
reconnaissant le vrai métier d’auxiliaire de vie scolaire, et en
pérennisant leurs missions par la signature d’un CDI (3
000 pour cette rentrée, puis entre 3 000 et 9 000 par la suite,
selon les années), le Gouvernement de Jean-Marc Ayrault offre aux
parents d’enfants en situation de handicap, la perspective d’une
école plus inclusive. En améliorant la qualité de l’accompagnement
le gouvernement nous rappelle son attachement à la réussite de
tous.
Parallèlement,
il permet à plus de 28.000 avs qui fournissent bien souvent un
travail remarquable et, indispensable à en juger la demande
exponentielle des besoins, d’avoir une expectative de carrière. A
la fin de 2014, les AVS pourront obtenir un diplôme d’état de
niveau CAP par le biais de la formation ou de la validation des
acquis de l’expérience. Le premier ministre donne une vraie place
aux AVS dans l’organisation scolaire, une place très largement
méritée.
Texte rédigé par Magali ADAM - Déléguée Fédérale au Handicap
24 août 2013
Université du Parti Socialiste
En cette fin du mois d'août les universités d'été des formations politiques alimentent l'actualité nationale.
Nichées dans les JT entre la déception des vacanciers de reprendre leurs activités et les images de supermarché rayon fournitures scolaires, elles annoncent la reprise des travaux des parlementaires, des élus et des militants toutes générations confondues.
Elles marquent la fin d'une courte pause estivale où chacun a pu prendre la mesure des échéances à venir et des enjeux qu'elles portent.
Et elles sont regardées par les français avec beaucoup plus d'attention que l'on ne pourrait imaginer.
Pour les forces de gauche, la séquence électorale à venir est essentielle: municipales et européennes en 2014, départementales et régionales en 2015.
La droite revancharde, perdue idéologiquement, sans boussole, guidée par les valeurs de l’extrême droite est aux abois.
Elle ne recule devant aucun reniement continuant au nom de ce droit d'inventaire à exacerber les haines et les confrontations, à désigner des coupables et des boucs émissaires.
Elle a pris durant l'été le teint blafard de l'extrême droite au point d'en mimer les attitudes ou d'en copier les propos.
L'héritage de Sarkozy sera bien celui là : il aura laissé sur le bureau de l'UMP la copie du mode d'emploi du FN.
Alors les mois qui viennent sont décisifs.
Une bataille électorale nécessite que l'on affûte ses armes et que l' on rassemble ses troupes.
Quand les écologistes s'interrogent sur une participation ou non au gouvernement ils font le jeu de l'UMP et du FN.
Quand le Front de Gauche par la voix de son leader vocifère à la moindre déclaration présidentielle il fait le jeu de l'UMP et du FN.
Rien ne se gagnera sans le rassemblement de la gauche, c'est le message que nous devons porter auprès des français et notamment celles et ceux qui souffrent dans notre pays.
Cette gauche qui n'a pas perdu son logiciel, cette gauche solidaire et unie qui sait gagner collectivement dans ses différences.
Ces universités d'été sont essentielles et elles doivent être le point de départ d'une mobilisation collective en appui du gouvernement.
Gageons que l'Université d' Été du parti socialiste donnera le tempo.
Nichées dans les JT entre la déception des vacanciers de reprendre leurs activités et les images de supermarché rayon fournitures scolaires, elles annoncent la reprise des travaux des parlementaires, des élus et des militants toutes générations confondues.
Elles marquent la fin d'une courte pause estivale où chacun a pu prendre la mesure des échéances à venir et des enjeux qu'elles portent.
Et elles sont regardées par les français avec beaucoup plus d'attention que l'on ne pourrait imaginer.
Pour les forces de gauche, la séquence électorale à venir est essentielle: municipales et européennes en 2014, départementales et régionales en 2015.
La droite revancharde, perdue idéologiquement, sans boussole, guidée par les valeurs de l’extrême droite est aux abois.
Elle ne recule devant aucun reniement continuant au nom de ce droit d'inventaire à exacerber les haines et les confrontations, à désigner des coupables et des boucs émissaires.
Elle a pris durant l'été le teint blafard de l'extrême droite au point d'en mimer les attitudes ou d'en copier les propos.
L'héritage de Sarkozy sera bien celui là : il aura laissé sur le bureau de l'UMP la copie du mode d'emploi du FN.
Alors les mois qui viennent sont décisifs.
Une bataille électorale nécessite que l'on affûte ses armes et que l' on rassemble ses troupes.
Quand les écologistes s'interrogent sur une participation ou non au gouvernement ils font le jeu de l'UMP et du FN.
Quand le Front de Gauche par la voix de son leader vocifère à la moindre déclaration présidentielle il fait le jeu de l'UMP et du FN.
Rien ne se gagnera sans le rassemblement de la gauche, c'est le message que nous devons porter auprès des français et notamment celles et ceux qui souffrent dans notre pays.
Cette gauche qui n'a pas perdu son logiciel, cette gauche solidaire et unie qui sait gagner collectivement dans ses différences.
Ces universités d'été sont essentielles et elles doivent être le point de départ d'une mobilisation collective en appui du gouvernement.
Gageons que l'Université d' Été du parti socialiste donnera le tempo.
22 août 2013
Armes chimiques sur Damas : Laurent Fabius souhaite une « réaction de force »
Conseil de sécurité
réuni en urgence exigeant que toute la lumière soit faite,
déclaration du Président de la République François Hollande,
demandant aux experts internationaux sur place de se rendre sur les
lieux pour savoir ce qui s’est passé, le bombardement dramatique
opéré par le régime de Bachar el Assad dans la banlieue de Damas
ce 21 juillet à l’aube, soulève des protestations très vives de
la communauté internationale.
En effet, 1300 personnes,
hommes femmes et enfants, auraient trouvé la mort suite à ce qui
serait un bombardement effectué par armes chimiques. Déjà à
plusieurs reprises, le régime de Damas avait été accusé par
l’opposition syrienne d’avoir eu recours à ce type d’armes.
Cette fois des images vidéos, des commentaires effectués par des
médecins syriens sur place, semblent indiquer que ces armes
redoutables auraient bien été employées, l’absence de blessures
apparentes, la suffocation, autant de signes qui attesteraient de
cette utilisation qu’il reste cependant à confirmer.
Ce mercredi matin, le
Ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius, très soucieux du
sort des populations civiles, s’est exprimé solennellement sur ce
dernier bombardement. Il a exigé que Bachar El Assad laisse les
enquêteurs se rendre sur place pour faire la vérité, « Si
les Syriens refusent, ça veut dire qu’ils sont pris la main dans
le sac ». Dans le cas où ces faits seraient avérés, le
Ministre français plaide pour une solution internationale qui doit
être « une réaction de force », incluant dit-il les
Anglais, les Américains, les Français, « et pourquoi pas les
Russes », tout en excluant l’envoi de troupes au sol. Les
Russes qui rappelons-le, sont en cours de discussion avec Assad pour
un nouveau prêt financier, et qui devront, affirme Laurent Fabius,
prendre leurs responsabilités.
Pour
le moment, l’armée syrienne poursuit son offensive contre les
forces d’oppositions dans les faubourgs de la capitale, bombardant
avec intensité ce jeudi après-midi de nombreux quartiers dont une
nouvelle fois le secteur visé par cette possible attaque chimique.
André Piazza
Délégué fédéral à l’International
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