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28 février 2007

Soutien à Ségolène Royal

Le Nouvel Observateur publie, dans son numéro daté jeudi 1er mars, un texte signé par plus de 150 intellectuels qui appellent à voter pour Ségolène Royal, "contre une droite d’arrogance", pour "une gauche d’espérance".
Le texte de l'appel

"Le 22 avril, il sera trop tard. Trop tard pour déplorer notre dispersion. Trop tard pour regretter notre inaction. Trop tard pour s’apercevoir que l’élection présidentielle s’est faite sans nous, malgré nous.

Nous refusons cette défaite trop souvent annoncée. Nous n’admettons pas que l’on vote à notre place. Nous n’acceptons pas que des sondages fabriquent une élection. Et nous ne tomberons pas dans le piège tendu par cette droite qui domine ou influence la plupart de nos grands médias. Car tout est fait, dans cette campagne, pour démobiliser la gauche et désespérer ses électeurs. Rien n’est épargné à Ségolène Royal. Ses déclarations comme ses silences, son entourage comme son compagnon, sa simplicité comme sa franchise, sa féminité comme sa fermeté : tout est prétexte en face à caricature et à moquerie. Tout est bon pour alimenter le mépris social et le dédain sexiste.

Qu’elle prenne le temps d’écouter les Français, et on la soupçonne de n’avoir rien à dire. Qu’elle annonce longuement son pacte présidentiel, et la question du chiffrage vient opportunément occulter le détail de ses engagements. Qu’elle-même ou son entourage soient victimes de procédés de basse police, et on préfère retenir l’air de la calomnie plutôt que de s’alarmer pour la démocratie. Qu’elle assume son identité de socialiste, et on lui reproche de se plier à un appareil. Qu’elle revendique sa part de liberté, et on l’accuse de se méfier de sa famille. Qu’elle réussisse un meeting électoral ou une émission télévisée, et on lui oppose immédiatement des enquêtes d’opinion aussi fluctuantes qu’incertaines.

Nous ne nous laisserons pas intimider. Dès le premier tour, nous voterons pour Ségolène Royal et nous appelons à faire de même, à le faire savoir et à faire campagne. Car nous voulons que, cette fois, la gauche gagne. Nous parions sur cette gauche plus exigeante avec elle-même et plus à l’écoute des siens, qui a appris de ses échecs, de ses illusions et de ses divisions, une gauche ambitieuse et audacieuse. Et nous savons que ce n’est pas n’importe quelle droite qui risque de l’emporter.

Jamais candidat de droite n’aura à ce point symbolisé la régression sociale. Nicolas Sarkozy est, tout à la fois, le candidat du pouvoir financier, du pouvoir personnel et du désordre mondial. Soutenu par la nouvelle aristocratie financière, il incarne la soumission de la politique à l’argent. Favorable à un renforcement des pouvoirs présidentiels, il incarne la tentation du césarisme contre l’approfondissement de la démocratie. Engagé aux côtés de l’actuelle administration américaine, il incarne le risque des aventures impériales, du choc des cultures et de l’affrontement des peuples. C’est le candidat de la peur. Des peurs qu’il exploite – celles de l’avenir, du monde, de l’étranger, des jeunes – mais aussi des peurs qu’il inspire en convoquant l’imaginaire de l’homme fort, du chef vindicatif et exalté, épris du pouvoir et de lui-même.

Contre ce danger, Ségolène Royal est la candidate de l’espérance. Elle l’a fait naître en défendant une démocratie participative où les citoyens sont reconnus experts de leurs problèmes. Une espérance à la fois sociale et écologique, éthique et démocratique, française et européenne, ne sacrifiant pas les conditions de vie et de travail à la modernisation économique. L’espérance d’une république nouvelle, rompant avec un présidentialisme étouffant pour un parlementarisme vivant. L’espérance d’une démocratie qui ne se réduirait plus à un pouvoir personnel, avec ses courtisaneries, ses impunités et ses privilèges. L’espérance d’une France enfin réconciliée avec son peuple, ses quartiers, ses travailleurs et sa jeunesse dans sa diversité.

Mais l’indifférence peut tuer l’espérance. Depuis 2002, nous sommes prévenus, et nous n’avons plus d’excuse. Nous savons que cette élection sera ce que nous en ferons. Il n’est plus temps de se faire plaisir, en perdant de vue l’enjeu décisif. Nous affirmons qu’il n’est de soutien entier que critique, de loyauté que lucide, de solidarité qu’indépendante, et nous resterons fidèles à cet engagement. Nous disons aussi que le second tour se joue dès le premier tour.

Cette élection n’est pas ordinaire et elle engage, à travers le sort de la France, un peu de l’avenir du monde. C’est pourquoi, contre une droite d’arrogance, nous appelons à choisir, dès le 22 avril, une gauche d’espérance, en votant Ségolène Royal."

25 février 2007

Tous pour une, une pour tous

Plus de 7000 personnes étaient présentes le samedi 24 février 2007 au Zenith de Rouen pour assister au meeting de Laurent Fabius et Ségolène Royal.
Dans une salle surchauffée, au fond musical techno, une foule de militants socialistes, de sympathisants, hommes et femmes aux origines diverses, jeunes et moins jeunes ont pu écouter Christophe Bouillon, Laurent Fabius et Ségolène Royal.
Et parmi eux, de nombreux militants et sympathisants de notre section.



















21 février 2007

Meeting de Ségolène Royal et Laurent Fabius




Tous au ZENITH DE ROUEN !

20 février 2007

Ségolène Royal sur TF1

Lundi 19 février, Ségolène Royal était l’invitée de l’émission de TF1 “J’ai une question à vous poser”. En s’imposant comme la candidate de tous les Français, Ségolène Royal a brillament réussi l’exercice, comme en témoigne les réactions “à chaud”, quelques instants après la fin du programme, de David Assouline, secrétaire national du PS à la défense, François Rebsamen, co-directeur de la campagne, et François Hollande, le Premier secrétaire du Parti socialiste.

8.913.540 téléspectateurs ont regardé Ségolène Royal hier soir sur TF1 selon Médiamétrie. Environ 700 000 de plus que pour N.Sarkozy à la même émission il y a 2 semaines. La candidate socialiste a fait 37% de parts de marché, le meilleur score depuis 15 ans pour une émission politique. (Dioranews)

16 février 2007

Fermeture de classe à Elbeuf

Intervention du groupe Socialiste au Conseil Municipal du 15 février 2007.

Nous avons appris la semaine dernière les menaces qui pèsent sur la rentrée scolaire 2007 dans notre collège et nos lycées.

Parce qu’elle est la clef de notre développement futur et la condition première de la réussite, l’éducation doit rester la première de nos priorités.
La ville continue d’investir massivement dans l’éducation (25% de son budget), et notre commune doit bénéficier d’efforts conséquents en matière de lutte contre l’échec scolaire, à travers le programme de réussite éducative que va piloter l’agglo d’Elbeuf.

A cela s’ajoute le programme de réussite éducative départemental qui va bénéficier au collège du Mont-Vallot : ce dernier se verra doté d’une enveloppe de 50 000 € pour mener des actions pédagogiques et éducatives.

Or, les annonces qui viennent d’être faites concernant les dotations horaires globales des établissements de l’Agglo d’Elbeuf sont en totale contradiction avec le discours volontariste du Ministère de l’Education nationale, et nous font mesurer l’écart qui peut parfois exister entre les paroles et les actes.

Le lycée Maurois serait ainsi touché par une fermeture de classe, et perdrait 130 heures d’enseignement soit 4 professeurs, portant les effectifs des classes de seconde à 35 élèves. Le lycée Buisson perdrait entre 4 et 6 professeurs, et une classe de terminale serait supprimée. Le collège du Mont-Vallot perdrait un professeur.

Les enseignants et les parents d’élèves se sont mobilisés pour obtenir de l’Inspection Académique qu’elle revienne sur sa décision concernant cette dotation horaire globale.

Ces mesures de restriction des moyens des établissements situés sur notre territoire risquent de pénaliser les élèves et les enseignants qui se battent au quotidien pour offrir à tous les jeunes un enseignement de qualité.

Au nom du groupe socialiste, nous soutenons et nous appelons les elbeuviens à soutenir le mouvement des enseignants et parents d’élèves.
Nous interviendrons auprès du recteur de l’académie pour obtenir le maintien des professeurs, des classes et que les dotations horaires globales soient revues à la hausse dans les lycées Maurois et Buisson et au collège du Mont-Vallot.

13 février 2007

Le Pacte Présidentiel de Ségolène Royal

Plus juste, la France sera plus forte.

C'est devant plus de 15 000 personnes réunies pour un grand meeting à Villepinte que notre candidate Ségolène Royal a décliné sa feuille de route pour la France.
100 propositions pour le progrès pour tous, 100 propositions pour le respect de chacun, 100 propositions pour la France.

Ce pacte avec les français fera de Ségoléne Royal,

La Présidente du travail pour tous

° Avec la création de 500 000 emplois tremplins, une sécurité sociale professionnelle, un revenu de solidarité active, un prêt à taux zéro de 10 000 euros à chaque jeune.

La Présidente de la confiance retrouvée

° Avec une augmentation de 10% par an du budget de la recherche et des crédits publics pour l'innovation, une décentralisation relancée, la généralisation des ateliers de la création.

La Présidente du pouvoir d'achat

° Avec une progression du SMIC à 1500 euros le plus tôt possible, une conférence nationale sur les salaires, les revenus et la croissance avec les partenaires sociaux, la hausse des retraites de 5%, le doublement de l'allocation de rentrée scolaire, la construction de 120 000 logments sociaux par an et la limitation du coût de logement à 25% du revenu.

La Présidente de la réussite éducative et culturelle

° Avec un service public de la petite enfance et la scolarisation obligatoire dès 3 ans, un soutien scoalire gratuit pour tous, la création d'emploi parents, la création d'une allocation autonomie pour les jeunes.

La Présidente de la lutte contre toutes les formes de violences

° Avec la création d'une police de quartier, une loi cadre contre les violences conjugales, le doublement du budget de la justice en 5 ans, le renforcement de l'aide aux victimes.

La Présidente des sécurités sociales

° Avec une politique de prévention et de recherche sur les maladies graves, une carte santé pour les jeunes de 16 à 25 ans, le renforcement de la medeçine du travail.

La Présidente de l'excellence environnementale

° Avec un soutien massif aux économies d'énergie et au developpement des énergies renouvelables, un pôle public de l'énergie entre EDF et GDF, un plan de developpement des transports collectifs

La Présidente d'une République nouvelle

° Avec le non cumul des mandats pour les parlementaires, un service civique pour les jeunes, l'adoption d'une charte de la laicité dans les services publics, le droit de saisir le Conseil Constitutionnel par les citoyens.

La Présidente d'une France forte en Europe et active pour la paix dans le monde

° Avec une Europe de la recherche, de l'énergie, de l'environnement, la création d'un gouvernement de la zone Euro, une coopération euro-méditerranéenne accrue.

07 février 2007

Meeting de Ségoléne Royal à Paris

Voici la vidéo de Ségolène Royal en meeting à Paris devant plus de 8000 personnes.

06 février 2007

J'ai une réponse à vous donner

Quelle supercherie!
Dans cette première émission télévisée diffusée lundi soir, vous, Mr Sarkozy vous avez voulu nous faire croire que vous n'avez jamais appartenu au gouvernement qui a saccagé notre pays.
Pour qui prenez vous les Français?
A vous entendre, vous n'êtes pour rien aux difficultés que connaissent de nombreux français (jeunes ou moins jeunes)dans notre pays.
Vous ne pouvez vous dédouaner de vos responsabilités comme Ministre de l'Economie, Ministre de l'intérieur, et comme Président de l'UMP d'un coup de baguette magique même prêtée par TF1.
Vous êtes l'artisan du bilan catastrophique que vous osez à peine évoquer.
Votre projet pour la France, c'est avant tout le bilan que vous dissimulez et les pratiques politiques que vous utilisez.

04 février 2007

Ne dites pas que vous n’avez pas été prévenu

Sarkozy est pour une mondialisation sauvage et brutale.
Dans son programme, il affirme que celle-ci n’est qu’une bonne chose « la mondialisation : ce sont des peuples qui accèdent au développement, aux libertés, à la démocratie… ».
Ces valeurs sont les mêmes qui ont été affirmées lors du dernier sommet Chine –Afrique en novembre dernier.
Il était dit « la Chine œuvre à développer un nouveau type de partenariat stratégique marqué par l’égalité et la confiance mutuelle sur le plan politique, la coopération dans un esprit gagnant-gagnant sur le plan économique ».

En vérité, ces propos, comme d’ailleurs ceux de Sarkozy, ne sont que des déclarations pompeuses.
Sur le terrain, nous constatons bien l’énorme décalage.
En Afrique , par exemple, nous assistons a une mondialisation sauvage et féroce avec un seul but ,la spoliation des richesses au mépris des lois de travail.
Les ouvriers africains ont étés enrolés(ou enroulés)dans des entreprises chinoises dans le but de produire au maximum avec des conditions de sécurité inexistantes : Rappelons nous de ces cinquante malheureux ouvriers qui ont péri en 2005 dans la mine chinoise (Non-Ferrous compagny, African Mining of China) à 400 Km au nord de la capitale zambienne Lusaka, suite à une explosion due aux mauvaises conditions de sécurité et de travail.

Cette mondialisation là est bien celle de Sarkozy, où les plus puissantes compagnies domineraient la masse ouvrière du tiers-monde, celle ci ne serait que l’outil nécessaire à la prospérité des plus puissants.

Par nous, la mondialisation, la vraie, c’est celle qui est réguleé et qui place l'homme en son coeur.
Le monde aujourd’hui est un village où plus personne ne peut ignorer ce qui se passe à côté.
Nous avons intérêt à nous respecter l’un et l’autre en bâtissant une vraie coopération nord-sud.

Sarkozy a bel est bien installé une coopération sauf qu’elle n’est consacrée qu’à la préparation du terrain pour expulser ,de France, et en masse des populations.

Rédigé par Sayah Jalouali.

03 février 2007

Ségoléne Royal et Laurent Fabius à ROUEN


SAMEDI 24 FEVRIER 2007 à 16 HEURES, ZENITH DE ROUEN

Grand rendez-vous politique en présence de SEGOLENE ROYAL et LAURENT FABIUS

Didier MARIE, président du Département de Seine-Maritime, président du comité de soutien

Christophe BOUILLON, 1er secrétaire fédéral, mandataire départemental de S. Royal

Yvon GRAÏC, animateur de campagne