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30 septembre 2007

Journée nationale d'échanges et de réflexions de Rassembler à gauche

Plus de 800 personnes se sont retrouvées samedi 29 septembre à Sciences-Po pour participer aux deux tables rondes et écouter le discours de clôture de Laurent Fabius. L'affluence a été telle que nous avons dû ouvrir une seconde salle avec retransmission en direct par vidéoconférence.
Les points clefs du discours :

- "Nous avons besoin de déconstruire la droite et de reconstruire la gauche." Déconstruire la droite, c'est comprendre les mécanismes par lesquels le gouvernement endort l'opinion et manie les médias.

- Le paquet fiscal est inefficace et injuste. Il pourrait bien s'avérer être un "boulet fiscal".

- La droite va se cogner au réel. Elle sera confrontée, c'est pour les prochains mois, à un "contre choc de méfiance". Elle tentera d'allumer des contre-feux en divisant ou en utilisant par exemple la question de l'immigration pour faire oublier ses échecs économiques et sociaux. Face à cela, le Parti socialiste doit mener une opposition claire et responsable.

- Les socialistes doivent revendiquer leurs valeurs, qui sont parfaitement actuelles : la liberté, l'égalité, la solidarité et la laïcité.

- Pour répondre aux nouveaux enjeux, il faut des propositions audacieuses et novatrices.

Quatre propositions concrètes :

- Pour assurer le respect de la démocratie, inscrire, dans la Constitution, l'exigence d'une expression pluraliste des radios et télévisions, un tiers pour le Président, ses collaborateurs et les membres du gouvernement, un tiers pour la majorité parlementaire, un tiers pour l'opposition.

- Pour limiter les rejets de CO2 dans l'atmosphère, mettre en place une pollutaxe climat-énergie.

- Pour financer les dépenses liées à l'allongement de la durée de la vie (retraites, dépendance, santé), mettre également à contribution les revenus du capital.

- Pour être offensif dans la mondialisation, mettre en place une Communauté européenne de la Recherche et de l'Innovation, ces deux matières premières du futur, Communauté qui pourrait constituer la première « coopération renforcée » effectivement mise en place, notamment avec les pays de l'Euro.

- Clarifier notre stratégie. "Nous sommes pour le rassemblement à gauche ; nous n’écartons pas par principe de ce rassemblement des personnes ou des forces qui ne s’y trouvaient pas auparavant mais à la condition incontournable qu’existe une cohérence politique. Cohérence nationale, c’est-à-dire refus des accords à la carte. Cohérence de projet, c'est-à-dire affirmation d’objectifs nationaux et locaux communs avec ces partenaires et d'abord le rejet de la politique économique, sociale et fiscale actuelle. Force est de reconnaître que cette cohérence n’existe pas aujourd’hui."

- Construire un grand Parti socialiste capable de rassembler 35% des voix au premier tour. "Quand je réfléchis à plus long terme, j'ai même à l'esprit un mouvement rassemblant encore plus largement que le PS aujourd’hui les sensibilités de la gauche, un mouvement socialiste et progressiste. C'est dans cette perspective de l'unité la plus large qu'il faut reconstruire."

Réunion publique contre les franchises médicales

A l'appel d'un collectif unitaire constitué du PS, du PC, du PRG, de la LCR, d'ATTAC, de la Ligue des Droits de l'Homme, du Collectif anti-raciste, un rassemblement a été organisé ce samedi sur le marché pour dénoncer le projet de franchise médicale.
Nous avons voulu alerter les elbeuviens sur ce projet de "taxation des soins" dangereux pour les plus démunis.
Ce que ce mauvais projet nous apprend, c'est que la droite au gouvernement, petit à petit, démantéle notre Sécurité Sociale pour passer d'une logique de solidarité nationale à une logique qui laissera la place aux assurances privées.
Une réunion publique est organisée le 09 octobre 2007 à 18h00 à Elbeuf.
Contact: 06.18.92.89.94

28 septembre 2007

Des militants offensifs

Il est toujours agréable de constater que les militants de la section d'Elbeuf répondent toujours avec enthousiame à nos réunions politiques.
En effet, hier soir, à 19h00 la salle était trop petite pour accueillir les presque cent militants venus assister à ce rendez vous de rentrée.
L'actualité politique a été abordée avec l'inventaire de tous les mauvais coups de la droite au pouvoir.
Les sujets qui fâchent n'ont pas manqués.
Tentative de destruction de la retraite par répartition qui privilégiera les plus riches, réforme de la carte judiciaire qui éloignera encore plus les français de la justice, cacophonie du gouvernement sur la scéne internationale en Lybie et maintenant en Iran, instrumentalisation de la question de l'immigration en recourant aux tests ADN dans le cadre du regroupement familial,nouvelle taxation avec la franchise médicale etc...
Sur cette question précisement des franchises, la section d'Elbeuf s'est associée au collectif unitaire crée à l'occasion pour dénoncer aux elbeuviens le danger d'une telle mesure.
Parce que nous ne voulons pas qu'encore un fois les plus démunies souffrent de cette taxation supplémentaire des médicaments ou des actes médicaux, nous serons mobilisés dès samedi sur le marché.

19 septembre 2007

Jour de marché

Ce samedi 22 septembre sur le marché d'Elbeuf, les militants de la section étaient présents auprès des elbeuviens pour faire campagne contre la droite.
Pouvoir d'achat, éducation, justice, tous les thèmes abordés répondaient aux préoccupations de la population qui commencent à sentir les effets dévastateurs de la politique du gouvernement de droite.
Nous seront présents réguliérement afin de dénoncer cette politique dure avec les plus démunies et complaisantes avec les plus forts.

Réaction de la Fédération de Seine Maritime

A l’heure où le projet de loi relatif à la maîtrise de l’immigration, à l’intégration et à l’asile a été voté à l’Assemblée Nationale, nous déplorons :

- la frénésie législative et médiatique qui semble, plus que jamais, partie prenante de la stratégie présidentielle et gouvernementale. Rappelons ici la succession de lois depuis 2003 qui durcissent les conditions d’accès des étrangers au territoire national (relèvement du plancher de conditions de ressources et durcissement des conditions de logement, tests de maîtrise de la langue et de connaissance des valeurs de la république jamais exigées pour les Français, tests ADN à la charge des étrangers…), y compris dans le cadre de demandes d’asile politique (les menaces en matière de seule liberté n’étant plus recevables). En l’espèce, il s’agit bien d’un nouveau projet de loi contre l’immigration car, ce texte et le discours l’accompagnant, entretenant une suspicion généralisée à l’égard des candidats à l’immigration supposés frauder et détourner la loi à leur profit, participent bien de cet effort nouveau de définir l’identité nationale par la négation de l’immigration et par son rejet.

Or, immigrer n’est jamais décision simple et s’apparente souvent à une véritable rupture culturelle et parfois familiale, d’où la nécessité d’adopter une politique certes raisonnée mais humaniste, notamment en matière de regroupement familial.

- l’instauration d’une politique d’exception à l’égard des étrangers à travers la traçabilité génétique de ceux-ci proposée par le député Thierry MARIANI. Outre la méthode consistant à introduire une telle disposition via un simple amendement, nous rappelons que l’article 16 du Code Civil interdit toute étude génétique hors l’intervention directe et expresse d’un magistrat dans le cadre d’une procédure de recherche de liens filiaux ou dans le cadre de recherches scientifiques, ce qui semble d’emblée frapper d’inconstitutionnalité une telle disposition.

Politique d’exception d’autant plus qu’en France, la reconnaissance de la parenté est déclarative et témoigne d’un vouloir-vivre ensemble – totalement abouti en matière d’adoption – plus que d’une filiation biologique qui n’est pas nécessairement garante d’amour et de respect de la dignité de l’enfant.

Y compris dans les rangs de la majorité, des voix s’élèvent contre ces dispositions tout à fait inacceptables et contraires au droit français, la filiation n’étant pas génétique en soi.

D’une manière plus globale, les dérives gouvernementales et présidentielles actuelles témoignent bien d’une volonté de naturaliser et d’ethniciser es politiques publiques. Aux déclarations du candidat à la présidence de la République consistant à faire de la pédophilie une tare génétique et à sa tentation de repérer les délinquants sur les bancs des écoles maternelles, nous pouvons déplorer cette dérive déterministe qui tendrait à classifier, dès leur naissance, les citoyens en bons et en mauvais.

- l’accusation dont font l’objet les « pays d’émigration » quant à leur complicité en matière de production d’actes d’état civil frauduleux, accusation qui ternira davantage l’image de la France à l’étranger, notamment dans les pays francophones et qui s’apparente à un néo-colonialisme.

Le rapport MARIANI explique ainsi que « (…) la fraude aux actes de l’état civil se manifeste par la production auprès des autorités françaises de documents falsifiés ou frauduleux, délivrés avec la complicité des autorités locales, ainsi que de jugements supplétifs ou rectificatifs concernant des naissances ou des filiations fictives et des reconnaissances mensongères d’enfants. La fraude documentaire touche essentiellement les anciennes possessions françaises dans l’Océan indien et en Afrique subsaharienne (…). »

- la fixation par le Ministère de l’immigration aux Préfets d’objectifs quantitatifs en matière d’expulsions, reléguant, par cette logique strictement arithmétique, aux placards de l’histoire une tradition républicaine humaniste en matière d’accueil des étrangers dans la patrie des droits de l’homme.

- le règlement de compte entre ministres sur le dos des étrangers. En effet, le projet de loi présenté à l’Assemblée Nationale envisage le transfert de la tutelle, s’agissant de l’Office Français de Protection des Réfugiés et Apatrides (OFPRA), du ministère des Affaires Etrangères au Ministère de l’Immigration, de l’Intégration, de l’Identité nationale et du Co-développement. Aux logiques politiciennes relatives à l’équilibre du pouvoir au sein de la majorité présidentielle et dont Michèle ALLIOT-MARIE semble faire les frais, s’ajoute une tendance de fond qui consiste à grignoter progressivement les libertés individuelles.

Plus grave, à travers ce projet de loi, nous pensons que le gouvernement tente de détourner l’attention quant aux véritables lacunes en matière d’intégration nationale et sociétale dont les principales causes sont à chercher dans le ralentissement de la croissance et dans l’aggravation du chômage et des pathologies sociales en découlant.

Plus que dans d’autres secteurs, nous pensons qu’en matière d’immigration, l’Etat doit faire preuve de justice et de justesse incompatibles avec l’inclination sensationnaliste de la ligne politique fixée par le Président de la République depuis son élection.

Projet de loi sur l'Immigration

Encore une fois, la précipitation et l'idéologie malsaine sont au rendez vous des discussions de l'Assemblée Nationale.
Le projet de loi relatif à la maitrise de l'immigration, à l'intégration et à l'asile présenté par le porte-flingue de Sarkozy Brice Hortefeux en porte les marques.
Précipitation car sans faire le bilan des 6 lois consécutives votées depuis 2003, le gouvernement remet à l'ordre du jour un nouveau texte, à un moment où l'état de grâce du président marque une "rupture".
6 lois qui n'ont rien changé mais qui malheureusement ont provoqué des drames familiaux comme cet été.

Idéologie malsaine car tout est fait pour faire de l'immigration un problème majeur menaçant l'unité de la Nation.
Cette position est contraire à la tradition humaniste et universaliste de la France, terre d'asile depuis des siècles, pays des droits de l'homme.
On stigmatise encore une fois l'étranger, accusé de tous les maux.

Ainsi, après avoir fait pression sur les préfets pour faire du chiffre, le gouvernement prépare sous la plume du Ministre et du député Mariani, un projet de loi visant à instaurer des tests ADN à la charge des étrangers pour rendre plus difficile le regroupement familial.




Après avoir accusé les pays d'origine de "malversations administratives" ou de complaisance, la droite nie la réalité des situations de déchirement familial que vivent la grande majorité des ressortissants étrangers.

Par ailleurs, il oublie pertinemment que la filiation n'est pas génétique en soi et qu'elle recouvre des réalités qui seraient valables pour les uns ( la recomposition familiale entre autres) et pas pour les autres, notamment les candidats au regroupement familial.

Ce texte est une honte et déjà dans l'opposition et même dans la majorité, dans les milieux intellectuels et le monde associatif, des voix s'élévent pour condamner ce projet.

Le groupe socialiste à l'assemblée nationale va demander la saisine du Comité Consultatif Nationale d'Ethique.

12 septembre 2007

La chasse aux sans papiers est ouverte


Curieuse convocation que celle envoyée par le Ministre de l'Immigration Brice Hortefeux à 19 préfets de notre pays.
Plagiant son mentor Nicolas Sarozy quand il était Ministre de l'Intérieur, Hortefeux se lance dans une nouvelle chasse aux sans papiers et réprimande les prefets qui n'ont pas obtenus les résultats attendus.
Une stricte analyse comptable de la situation des sans papiers en France est inhumaine et inopérante.
On ne pourra résoudre ce problème qui dépasse les frontières hexagonales qu'à travers une grille de lecture strictement arithmétique.
Les objectifs annoncés par le président de 25 000 expulsions en 2007 ne seront jamais atteint et ne servent qu'à entretenir la peur pour les uns, le populisme pour les autres.
En restant flou sur le contenu de cette convocation, le ministre prend la posture du professeur qui distribue les mauvais points aux mauvais élèves que sont ces 19 préfets.
Nous appelons le ministre a plus de sérénité, nous l'invitons à regarder l'immigration autrement et nous lui conseillons d'ouvrir un vrai débat.

Les politiques d'immigration ne doivent pas servir exclusivement la publicité gouvernementale aux mépris des droits humains.

De nouveaux camarades

"Ouvrir les portes et les fenêtres de notre Parti."
A chaque défaite éléctorale, ce délicat refrain revient dans la bouche de nombreux responsables nationaux comme si le Parti Socialiste vivait en vase clos, coupé du monde et de ses réalités.

A Elbeuf, nous avons permis depuis longtemps à de nombreux elbeuviennes et elbeuviens à venir nous rencontrer, à nous rejoindre pour mener nos combats passés et futurs.

Ce lundi 10 septembre, entouré de Didier Marie et des membres du bureau, nous avons accueilli les nombreux nouveaux militants qui nous ont rejoint dernièrement.

" Une section à l'image de notre commune", " des militants porteurs de valeurs d'égalité et de transformation sociale", " des combats à mener prochainement pour faire contre feux à la politique de destruction sociale du gouvernement Sarkozy", tel a été la teneur des échanges entre les camarades et nous.

Notre porte a toujours été grande ouverte, nous n'attendrons pas d'autres échéances électorales pour continuer.

05 septembre 2007

Une croissance revue à la baisse.

Aprés l'INSEE, la Commission Européenne, la Banque de France et l'ensemble des instituts de prévisions des banques privées, l'OCDE vient d'annoncer une révision très sensible de sa prévision de croissance pour la France qui est ramenée à 1.8% pour 2007.

Prévisions à la baisse par rapport au 2.4% de croissance annoncée par la Ministre de l'Economie qui ne prend pas acte de cette estimation.

Cette correction est inquiétante car elle n'intégre pas les conséquences de la crise des prêts hypothècaires américains qui avait ébranlé les places boursières dernièrement.

Comme le confirme l'OCDE, cette piètre performance est la résultante des choix économiques et fiscaux de la majorité qui a préféré abaisser massivement les impôts acquittés par les ménages les plus aisés au lieu d'investir dans la recherche, l'éducation, l'innovation...

Les français vont donc payer une deuxième fois le paquet fiscal car la dégradation de nos finances publiques est désormais inévitable.
En refusant de réviser ses prévisions de croissance, le gouvernement refuse l'évidence de réalité.

Ou nous prépare un plan de rigueur...dèjà annoncé.

Rentrée scolaire, inquiétude des enseignants et menace du gouvernement

A la veille de la tenue du Comité Départemental de l¹Education Nationale,
Didier Marie, Président du Département de Seine-Maritime, fait part de
son inquiétude après les déclarations du Président de la République et
du Gouvernement qui vont à l'encontre de l'intérêt des élèves.


« La suppression de 11.200 postes de personnels prévue au budget 2008, n’est pas "un chiffre dérisoire" comme le dit M.Darcos, Ministre de l’enseignement. Le gouvernement fait une erreur en supprimant les postes car la clé de l’avenir, comme chacun le sait, est l’éducation.

Après quatre années de coupes consécutives, la rentrée nous donne des raisons d'être inquiets.
Nous assistons encore à des effets d’annonces sur des décisions prises sans aucune concertation.

Parmi ces soi disantes nouveautés, le Ministre de l’Education Nationale a annoncé des heures de soutien scolaire.
Nous avons déjà mis en place, en Seine-Maritime, un tel dispositif, le Contrat de Réussite Départementale (CRED).

Nous espérons que le gouvernement y consacrera les moyens nécessaires et ne décidera pas encore unilatéralement des conditions de mise en place qui reporteraient des dépenses supplémentaires sur le Département.

Chacun connaît la réalité en Seine-Maritime : le niveau des élèves baisse années après années. Seulement 52,1% des élèves seinomarins entrant au collège ont réussi l’évaluation nationale contre 57,1 % en France), l’écart se creuse car notre résultat était de 61,9% en 2004.

À la lecture de ces chiffres, je soutiens que le gouvernement ne se mobilise pas suffisamment sur notre territoire : par exemple, sur les 56 collèges relevant de l’éducation prioritaire seuls 11 sont concernés par le dispositif « Ambition réussite ». Tout cela est insuffisant.

Devant ces mauvais coups répétés chaque année, nous regrettons que notre demande de moratoire sur la diminution des moyens de l’éducation nationale ait été refusée l’année passée et demandons au Gouvernement, une nouvelle fois, un plan global de rattrapage pluriannuel établi en concertation avec les organisations représentatives syndicales, les associations de parents d’élèves et les collectivités locales concernées. »

Pour sa part le Département de Seine-Maritime a fait de l’éducation « sa priorité des priorités ».
Le budget total consacré aux collèges par le Département de Seine-Maritime est passé de 56 millions d’euros en 2004 à 117 millions d’euros en 2007.
- 31 millions d’euros assurent le fonctionnement des collèges

À cela s’ajoute le Contrat de Réussite Educative Départementale (CRED) qui permet aux établissements volontaires de disposer chacun d’une enveloppe de 50 000 euros pour mener des actions de soutien scolaire et d’animation culturelle, sportive, citoyenne, ou de prévention. 38 collèges ont expérimenté avec succès le CRED pour l’année scolaire précédente, le dispositif est étendu à 71 établissements pour l’année 2007/2008.
- 86 millions d’euros sont investis dans les collèges :
Le volume d’investissements consacrés aux collèges et à leurs équipements est passé de 36 millions d’euros en 2004, à 86 millions d’euros au budget 2007.
Cet été, 10 millions d’euros de travaux ont été programmés dans le cadre des gros travaux d’été, au bénéfice de 83 collèges publics.
Les aides à la disposition des familles sont aussi nombreuses :

- les aides départementales à l’enseignement
- le Pass'culture pour les collégiens
- l’agenda scolaire pour tous les collégiens qui rentrent en sixième
- le pass’sport76
- les aides aux transports en commun"