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23 mars 2012

Communiqué de presse de Didier Marie : Il est temps de se tourner vers une autre politique éducative

Didier MARIE, président du Département de Seine-Maritime, a co-présidé le Conseil
Départemental de l’Education Nationale, qui s’est tenu ce mercredi 21 mars.

« Je me félicite de la mobilisation des élus, des enseignants et des parents d’élèves qui
a permis d’annuler la suppression de 12 classes dans le département.

Avec Sébastien JUMEL, vice-président en charge de l’éducation, Dominique CHAUVEL,
Michel FOUQUET et Nicolas ROULY, les vice-présidents membres du CDEN présents
et plusieurs conseillers généraux de la majorité, je déplore que les moyens nécessaires
n’aient pas été accordés à l’école de la République en Seine-Maritime, depuis trop
longtemps pénalisée par la politique du gouvernement.
Sa logique arithmétique va à l’encontre des intérêts des élèves, dans un département où
les conditions d’enseignement sont déjà très dégradées et où les besoins sont
importants.

Toutefois, les élus de la majorité départementale se félicitent des avancées
obtenues qui se traduisent par
- l’annulation de 12 suppressions de classes en Seine-Maritime (Longueville-sur-
Scie, Le Havre, Rouen, Sahurs, Darnétal, Gouy, Le Tréport, Grand-Quevilly, Saint
Etienne du Rouvray, Sivos de Barentin et de Saint Valéry en Caux),
- le maintien des classes dans les écoles de Saint-Pierre-en-Port et Jules Ferry à
Dieppe
- le maintien de la décharge de direction sur deux écoles.
C’est le fruit de la mobilisation des élus, des enseignants et des parents qui a permis
d’ouvrir une concertation utile avec les autorités académiques.

Néanmoins je reste attentif aux négociations en cours tant sur les moyens
supplémentaires demandés au ministère que sur les situations précises des écoles de
Fontaine-sous-Préaux et du Regroupement pédagogique intercommunal du secteur de
Caudebec-en-Caux.

Tout cela démontre qu’une autre politique éducative est possible et doit être menée
au niveau national. L’acquisition des savoirs et de la formation doivent être au coeur
des priorités publiques car elles, seules, pourront offrir à la jeunesse les moyens de son
épanouissement et lui donner les clefs de sa réussite ».

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